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 "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre]

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Le Joker
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MessageSujet: "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre]   "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre] EmptyDim 24 Aoû - 20:49

Il y a de ces soirées dont on ne comprend pas le but, ni la raison pour laquelle on l'a organisée. Ce soir était un soir spécial, car l'on fêtait la victoire de Nathan Petrelli aux premiers tours des élections. Seulement voilà, le principal intéressé n'était pas de la fête, seul son frère le représentait et encore il était écrasé par la foule dandinante de riches bourgeois tous plus vantards et arrogants les uns que les autres.

Il était proche de vingt et une heure, la salle était très illuminée, un grand loft sur Brooklyn servait de réception à cette petite fête. Les gens parlaient mais l'on ne retenait de cette masse jacassante qu'un brouha aussi bruyant qu'incompréhensible. Le Joker arriva en taxi au pied de l'hôtel qui hébergeait ce grand loft en son sommet. Le chauffeur descendit également de la voiture, vêtu comme un voyou mais son visage était caché par un masque de clown. Deux autres sbires sortirent à leur tour du taxi, et rejoignirent Le Joker et son chauffeur. Chacun des hommes de main avait un revolver dans la main, tandis que le criminel avait lui un fusil à pompe à manche court. Ils entrèrent dans l'immeuble, installant la panique au rez de chaussée. Le Joker s'adressa à ses sbires:


" Regroupez tout le monde dans un placard, enfermez les, puis bouclez l'entrée de l'hôtel. "

Et ses sbires s'exécutèrent, pourquoi ? L'argent ... Le Joker savait que malgré qu'ils lui étaient très utiles ceux qui travaillaient pour lui devaient être tués car il n'avait pas de quoi les payer, et un criminel qui s'intéresse à une chose aussi futile que l'argent ne méritait pas de vivre selon lui. Une fois que tous ses ordres avaient été exécutés il se dirigea vers l'ascenceur, où il fut rejoint par ses 3 complices. Un de ces derniers pressa le bouton du dernier étage. Le Joker le regarda:

" Qui t'as demandé de pousser ce bouton ? "

- Mais je ... Désolé, mais je pensais que c'était le plan.

Le Joker stoppa l'ascenceur.


" Le ... plan ? Je vais te dire, il n'y a pas de plan, parce que le plan c'est pour ceux qui ne savent pas où ils vont, qui ne savent pas ce qu'ils veulent faire de la vie. Le plan c'est ce qui maintient les citoyens dans le droit chemin, car si on annonce qu'un terroriste va se faire exécuter personne ne bouge le petit doigt, en revanche si quelqu'un assassine le maire de cette ville alors les gens deviennent dingues. Tu comprends ? "


- Oui monsieur, il n'y a pas de plan.


" Bien, maintenant donne moi les explosifs qu'il y a dans ton sac. "

- Pourquoi faire ?

" Parce que ça fait partie du plan, allez grouille ! "

Le Joker installa les explosifs au centre de l'ascenceur, et remarqua que ses sbires se collèrent de peur contre les parois de la petite pièce. Il les regarda tour à tour, en se léchant le bord des lèvres.

" Euuuh ... Ok. "

Après avoir réglé le minuteur, il pressa le bouton du dernier étage. Pendant que l'ascenceur entamait sa montée, Il poussa la trappe du plafond et s'engouffra au dessus de l'ascenceur, laissant ses sbires dans la cage.

- Euuh patron ?

" Ne vous inquiétez pas, tout ça fait partie du plan. "

Il ferma la trappe et laissa ses sbires enfermés dans l'ascenceur. Quand ce dernier arriva au dernier étage, la minuterie indiquait qu'il restait 15 secondes. L'entrée du loft fut balayée par une petite mais violente explosion. Les voyous déguisés en clown furent balayés ainsi que les gardes de sécurité qui gardaient l'ascenceur. Les gens ne bougeaient plus, le silence complet. La porte des escaliers s'ouvrit et Le Joker s'engouffra dans la salle, suivit de près par quatre autres hommes masqués en clowns. Il tira un coup de fusil à pompe en l'air pour capter l'attention.


" Bonsoir mesdames et messieurs ! "


Les sbires se mirent à contenir la foule, la menaçant de leurs armes. Le Joker se balada dans la salle, se servant des cacahuètes à gauche, avalant une gorgée de champagne à droite.

" Nous sommes ... L'attraction de la soirée !! "

En parlant il s'était approché d'un jeune homme resté jusque là à l'écart, il le reconnu assez aisément pour l'avoir vu plusieurs fois à la télévision: Peter Petrelli, le frère de Nathan. Mais il n'avait rien prévu de spécial pour lui, tout ce qu'il voulait c'était un massacre ce soir, et comme il savait que Nathan ne serait pas là, il dit:

" Je n'aurais qu'une seule question: Où est Nathan Petrelli ?? "

Personne ne répondait, le prenant pour un fou, tout le monde savait que Nathan n'était pas de la fête.

" Bon, personne ne veut me le dire. Euuh ... Ok, personne ne veut me le dire. Euuh ... Alors on va faire ça comme ça. Je vais compter jusqu'à 24, et si à 20 Nathan Petrelli ne se trouve pas devant moi, je commence à tirer sur les femmes. "

Les gens poussaient des râles, personne ne trouvait ça drôle, les hommes montraient leur buste. Un invité d'ailleurs sortit du rang pour venir devant Le Joker. Il instaura le silence et tout le monde l'écouta.

- Nous ne sommes pas intimidés par une bande de voyous, prenez l'argent si c'est ce que vous voulez et partez.

Le Joker souria, il regarda l'homme. Il n'était plus tout jeune, mais il était sur de lui, sauf que la sueur commençait à lui perler sur le front.

" Vous savez quoi ? Vous me rappelez un peu le premier mec que j'ai buté, il était comme vous, protecteur, mais quand j'ai menacé sa femme il s'est révélé être une loque humaine. Alors voilà ce qu'on va faire. "

Il prit la main du vieil homme et lui déposa une arme dans la main, puis il se posa le canon de cette même arme sur le front.

" Voilà, vous avez le destin de toutes ces personnes entre vos mains, vous pouvez tout finir maintenant, il vous suffit d'avoir le cran de presser la détente. Pouvez vous devenir un criminel pour en arrêter un autre ? "


L'homme transpirait, il regardait les autres convives qui l'invitaient à presser la détente pour certains, ou a lâcher l'arme pour d'autres. Finalement, alors que Le Joker tenait encore sa tête à une trentaine de centimètres du canon, l'homme pressa la détente en fermant les yeux. S'en suivit un court sifflement, et quand l'homme rouvrit les yeux il put voir un drapeau sortir du canon de son arme, un drapeau sur lequel on pouvait lire "PAN !". Le Joker se mit à rire, et immédiatement après l'homme se tenait la tête, juste lui. Il criait tandis que le criminel riait aux éclats. Du sang finit par lui sortir du nez, lorsqu'une nouvelle personne sortit à son tour du rang. Le Joker le regarda: Peter Petrelli ...
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MessageSujet: Re: "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre]   "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre] EmptyLun 25 Aoû - 1:54

  • Petrelli remporte le Premier tour par cinquante quatre pourcent des voix...

    La phrase résonnait encore dans la tête de Peter Petrelli, mais ce n'était pas lui qui remportait le premier tour, plutot quelqu'un qui était a ses antipodes, son frêre ainé, Nathan. Il était devenu un des plus grand politicien de la ville de New York grace a d'habiles stratagémes et de l'argent collectés chez les familles mafieuses qu'auparavant il menait en justice. Tout changeait avec le temps: L'époque ou les deux freres étaient inséparables et ou l'un aurait toujours fait son maximum pour l'autre était révolue. A présent, Peter était toujours fidéle a son frêre, mais lui avait de plus en plus de mal a accepter le fait que'ils aient des dons plutot extraordinaires.

    Pourtant c'était bel et bien réel. Certaines personnes avaient reçues de facultés tout bonnement extraordinaire et curieusement, certaines s'en servaient pour faire le mal, alors que d'autres s'occupaient de faire le bien. Bien évidemment, peu de personnes controlaient leur pouvoir paraitement, rares étaient ceux qui pouvaient s'en vanter d'ailleurs. Les facultés dont ces gens étaient doté étaient impressionantes, quelques unes semblaient tres faibls alors que d'autres plutot démesurés. Le pouvoir de Pete entrait dans la derniére catégorie.

    Lui était une sorte d'éponge, quelqu'un qui pouvait absorbé tout les pouvoirs de personnes étant pres de lui, sans avoir réellement besoin d'entrer en contact avec eux. Il commencait a voir pas mal de pouvoir en lui, mais il n'était pas tres aisé de les maitrisés. Pour se faire, il fallait qu'il ressente exactement l'émotion qu'il avait ressentit alors qu'il venait d'acquérir ce nouveau pouvoir: frayeur, joie, colére, tout cela était bon pour faire apparaitre ses dons. Il avait entre autre la possibilité de se rendre invisible, de controler la matiére, de controler l'electricité, d'avoir une force presque surhumaine. Plutot cool quand on savait s'en servir, ce qui n'était pas tout a fait encore le cas du plus jeune Petrelli.

    L'annonce avait été fait haut et fort, et tout le Q.G. avait crié sa joie. Bien évidemment, le héros du jour était on ne peux plus heureux, mais dans les dix minutes qui avaient suivi l'evenement, Nathan était allé faire un speech pour la télévision et avait décollé a bord d'un jet privé appartenant a un riche casino de végas pour aller voir son financier: un mafioso qui ne voyait que ses intéret dans l'ascension d'un petrelli au pouvoir a new york. Peter n'était absolument pas d'accord avec cela, sachant que quand il était encore procureur de cette ville, il s'était défendu contre cette corruption et avait failli attaquer en justice cet homme et de ce fait, envoyé meme son pére en prison. Les Petrelli avaient changé.

    - Peter, tu feliciteras ton frêre de notre part.

    Le jeune homme n'avait absolument aucune idée de l'identité des personnes qui se tenaient devant lui. Des sympatisants a son frêre surement, ce n'était pas bien grave s'il ne les connaissait pas, il n'était pas trp du genre physionomiste, encore moins avec les léches bottes de la campagne de l'ainé Petrelli. Il souria poliment, assumant son rang de frêre chéri de la méga star d ela soirée, et annonca a l'assemblée:

    - Mesdames et Mesieurs, merci pour votre soutien. Une soirée sera celebrée en l'honneur de la victoire de mon frêre dans l'hotel de Brooklyn ou nous avons l'habitude de fêter les victoires, Le L.o.f.t. Nous nous y retrouveros d'ici une vingtaine de minutes j'espére.

    Pete n'aimait pas du tout s'exprimer en public devant une masse de gens qui idolatraient son frêre tel un dieu qui devrait bientot répandre la sainte parole sur la grosse pomme. Il allait encore falloir qu'il tienne une soirée, une soirée de plus ou comme a son habitude il s'effacerait des son arrivée. Il n'était pas familier de tous ces gens avares, bien qu'il venait lui aussi de Brooklyn, mais que voulez vous, il était l'exception qui confirme la régle.

    Pres de vingt minutes plus tard, la salle était deja bien remplie, et il ne connaissais presque aucunes des personnes présentes dans la salle. Pourquoi? Parce que ce n'était pas son monde. Le jeune homme se voulait extraordinaire, mais pas dans ce sens, pas en trainant dans la corruption et en achetant les voix a prix d'or. Ce qui le rendrait exceptionel serait surement ses pouvoirs, mais pour le moment, il n'avait qu'une salle remplie de gros sous qui ne demandaient qu'a boire et a s'amuser en fetant la victoire d'une personne qui n'était meme pas présente.

    Il sortit faire un tour sur le balcon, ne pensant même pas qu'un discours serait de bon ton, préférant laissé sa mére s'en occupé. Elle était bien plus préocupé par la carriére politique de son ainé que son cadet. Cela avait toujours été ainsi d'ailleur, mais c'était plutot leur pére qui préférait nathan avant sa mére, et sa méer Peter. De toute facon, cela n'importait plus que tres peu.

    De la, il voyait la ville s'étendre sous ses yeux, et il se demandait s'il pourrait voler au dessus, voir de plus pres les buildings, et enfin arrêter de n'être que le "joker" de son frêre. A ce moment la, il entendit une explosion. Qu'est ce qu'il se passait? Il n'allait tout de meme pas revivre le onze septembre alors qu'il fetait la victoire de son frêre? Il entedit un murmure parcourant la foule, et il réussi a lire dans quelques pensées. Les mots résonnaient " clown ", " peur ", " nathan petrelli ", " bombe" et le dernier d'entre eux, plus connu a présent dans new york, " JOKER".

    Il n'allait tout de même pas sauté pour lui échappé alors dans un élan de courage complétement nul, il rejoignit la salle intérieur ou il voyait ce visage souriant tracé a coup de maquillage et de cicatrices. Costume mauve et vert, il faisait presque peur a voir car sous les couleurs qu'il affichait, Peter commencait a le connaitre de reputation. Il n'était pas un clown, mais était bel et bien fou. Ce n'était pas un criminel comme les autres et le jeune homme n'avait aucune idée de ce qu'il pouvait bien vouloir. La réponse lui fit vite donnée, il voulait voir son frêre. Super.

    Un homme venait de se voir menacé par le nouvel arrivant, cette homme meme qui au q.g lui avait demandé de félicité son frêre. Peter fut incapable de bougé, paralysé de terreur avant que ne sorte du canon de l'arme un drapeau avec marqué " Pan " dessus, tel un cartoon pour enfant. Mais a ce moment il se mit a rire, mais ce rire... Il avait quelque chose d'inhumain, plus sadique, mais aussi plus puissant que n'importe quel rire. Il avait bel et bien un pouvoir, mais Peter réalisa a quel point il était dangereux. Le joker était connu pour son amour de la dynamite et de l'essence ainsi que des armes, ainsi que pour son rire, mais persinne ne le savait si... exceptionel dans ses dégats.

    Voyant l'homme en souffrance, Peter fit un pas en avant, et se distingua de la foule massée pour éviter de se retrouvé en face du joker. Smoking d'une grande marque et flute de champagne a la main, il n'était pas vraiment a sa place mais il fallait assurer les apparences. Tout d'abord, un des hommes de main le menaca de son arme, mais le Joker l'apperçu immédiatement. Pete bien sur le prit en compte, il n'avait pas envie de mourrir criblé de balle de mitraillette :

    - Nathan n'est plus a New York.

    Il avait un regard provocateur, mais cela signifiait chez lui qu'il essayait de se montrer sur de lui. Le joker était instable et Pete se dit qu'il fallait bien éviter le bain de sang ce soir.


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MessageSujet: Re: "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre]   "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre] EmptyLun 25 Aoû - 13:01

Alors que le vieil homme criait encore de douleur, le Joker s'arrêta de rire en voyant Peter se détacher du lot, mettant fin aux souffrances de la victime du Joker. Ce dernier poussa le faux héros dans la foule et se rapprocha de Peter d'un pas malicieux, en jouant avec sa langue. Arrivé à mi chemin, il plongea sa main dans sa poche et en sortie un couteau à cran d'arrêt dont il fit jaillir une lame bien aiguisée. Il s'adressa au jeune Petrelli en remuant son couteau dans les airs:

" Je te connais toi. Euuh ... Oui, oui je te connais, t'es le jeune frère de Nathan Petrelli et bien ... Tu dois savoir où il est alors ? "

- Nathan n'est plus a New York.

" C'est assurément regrettable pour toutes les personnes présentes qui espèrent que tu mens mon jeune ami. Euuh ... Et si je décidais malgré le fait que euuuh ton frère ne sois pas là, de quand même tuer toutes ces personnes, tu ferais quoi ? Hein ? Tu vas te révéler être un héros et sauver toutes ces personnes ? Ou tu vas reculer dans cette masse de moutons pour retrouver la place de clown qui est la tienne ? Non je dis ça parce que ... euuh le dernier spécimen derrière moi à avoir joué au héros est en train de se pisser dessus donc ... J'aimerais pas perdre mon temps avec toi. Alors. "

Il arriva contre Peter, lui prit la main comme précédemment avec le vieil homme, et lui déposa son couteau à cran d'arrêt, avant de se coller contre la lame.

" Es-tu prêt à faire ce qui doit être fait ? Mhmhihihi. Je veux dire, tu as 50% de chance que tu traverses ma cage thoracique jusqu'aux organes pour que je me vide de mon sang, et donc tu sauves toutes ces personnes. Mais alors tu deviendrais un meurtrier. A l'inverse, tu as 50% de chance que la lame de ce couteau soit en réalité une fausse et que donc elle ne me traversera pas le corps. Tu veux tenter le coup ? "


Intérieurement, le Joker réfléchissait à la suite des évènements, sans se douter que Peter était capable de lire ses pensées :


* La lame est une fausse, s'il tente de me poignarder avec je lui brise le cou *
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MessageSujet: Re: "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre]   "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre] EmptyLun 25 Aoû - 15:45

  • Qui aurait prévu que Peter se retrouve dans une telle posture? Absolument personne. Son frêre aurait du être a sa place, et non content d'être a Vegas il devait être dans un gigantesque hotel casino où il buvait et mangeait surement avec toute la pégre réuni. En fait, entre les deux, Peter préférait largement cla situation qui était en train de se passer. Le jeune homme était en fait un peu semblable au joker, l'argent lui était complétement indifférent, mais il ne voulait pas uniquement regarder le monde bruler.

    A ce moment la, il en voulait itérieurement a son frêre de ne pas e^tre la, mais s'il l'avait été, il était sur que le joker l'aurait quasi immédiatement tué. Mais il réfléchissait, encore et encore, et ne voyait absolument aucune raison que ce criminel qui tétanisait new york depuis quelques temps s'en prennent a lui. Qu'est ce que cela lui aurait rapporté honnetement? On ne fait jamais rien pour rien quand on a du talent.

    On disait le criminel fou, et aussi perturbé qu'imprévisible mais pourtant, son discours était assez clair. Le pire dans tout cela était le fait qu'il avait raison sur pas mal de chose, mais Peter ne se retrouvait dans aucune des proposition de l'homme. Reculer pour reprendre sa place et laisser des gens mourrir alors que son frêre n'était vraiment pas la ne tentait pas le jeune Petrelli, pas plus que le tuer lui et se faire tuer apres en guise de vengeance par ses hommes. La situation lui semblait assez fermée.

    Avant qu'il n'ait pu répondre, le joker lui prit la main et placa un couteau dedant en lui demandant s'il aurait le courage de le tuer. Mais non, Peter n'était pas un assassin, plutot un genre de superhéros si je peux me permetttre. l avait beaucop de faculté a présent, elles commencaient a sérieusement s'acumuler en lui mais un de ses préférée était celle de lire dans les esprits. Ce qu'il fit alors que le joker lui parlait toujours. A vrai dire ce n'était pas facile d'entre sa voie et ses pensées mais Peter fit un effort de concentration, extremement dur quand vous être dans cette position.

    Il entendi parfaitement que la lame était une fausse mais ne réussi pas a comprendre ce que lui reservait le joker. Tant pis, il ferait avec. Il regarda le clown dans les yeux, l'air presque provocateur a nouveau:

    - Je ne préfére pas prendre de risques.

    Ces paroles pouvaient s'appliquer dans les deux sens, soit il traversait le joker de la lame, et de ce fait ne prenait pas le risque de faire tuer toutes les personnes présentes, soit au contraire, il ne prenait pas de risque pour lui, et ne tentait meme pas le coup de planter le jouet en plastique dans son corps. Il souffla un moment, le temps que la foule emette un " oh " surpris, ne sachant rien des intentions du plus jeune petrelli. De plus, il ne pouvait meme pas la tester sur lui sinon il montrerai son pouvoir de régénération cellulaire. Tant pis.

    Il tourna la lame entre ses doigts en faisant comme si il ne savait pas qu'elle n'avait rien de coupante. Une attitude d'extreme prudence émanait de lui. Il la remit dans les mains du joker en disant.

    - Soit cette lame est une vraie et je serais devenu un meurtrier, même tuer quelqu'un comme vous doit etre considéré comme un crime. Soit c'était une fausse et en vous l'enfonçant dans le corps, je ne savait pas absolument pas ce qu'adviendrait toutes ces personnes. Alors je préfére vous la rendre,les choix cornéliens ne sont pas mon truc. Et comme je vous l'ai dit, Nathan n'est pas ici.

    Visiblement, le joker ne s'attendait pas a cela. Peter non plus, il pouvait remercier les corus d'improvisation que son frêre lui avait ordonné de prendre au cas ou des journaux viendrait l'interroger. Le clown qui se trouvait devant lui lui souria d'un air encore plus cruel.
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MessageSujet: Re: "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre]   "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre] EmptyLun 25 Aoû - 17:50

Le regard du Joker s'emplit de curiosité lorsqu'il vit Peter jouer avec la lame entre ses doigts avant de rendre le couteau à celui qui le lui avait donné. Le criminel reprit le couteau dans ses mains, par la lame, et à son tour se mit à faire des petits mouvements nerveux. Comment ? Peter savait que la lame était fausse, il le savait, ce n'était pas un coup de chance, il n'aurait pas prit le risque de prendre le couteau directement par cet endroit d'habitude si tranchant. Le Joker laissa s'étirer sur son visage un sourire d'un air encore plus cruel. Il approcha son visage de celui du jeune Petrelli et lui glissa à l'oreille :

" Alors tu te sens peut-être ... spécial ? Tu savais gamin, tu savais que la lame était une fausse je sais pas comment mais tu le savais. Alors euuh ... Tu sais lire dans mes pensées c'est ça ? Ou tu as une vision plus développée des choses et des matières ?? Si tu savais tout ce que j'ai déjà pu voir comme ... abilité ... hors du commun. "

Le Joker s'écarta de Peter et parlait de nouveau pour que tout le monde puisse entendre.

" Tu sais Peter, j'ai découvert une chose au fil du temps. J'ai un rire ... extraordinaire mhmhihi. Je ne me l'explique pas, je ne riait pas beaucoup fut un temps, mais depuis que je me suis ... enfin que ces ... cicatrices se sont formées sur mon visage, je prends tellement de plaisir à rire. Mais je remarque que les personnes qui m'entourent prennent beaucoup moins de plaisir que moi à partager ce rire qui sort de ma bouche, parce que ... ça leur fait mal. Et j'aime ça, oh oui j'aime ça. Tu veux savoir pourquoi ? Parce que j'aime le chaos, j'aime quand les choses sont faites sur l'instant, quand il n'y a pas d'organisation. Et mon taré de père me l'a dit un jour: la première chose que tu ressens après avoir tué quelque'un, c'est le recul du fusil mhmhmhiiiiiiihiHIHIHIHIHIHIHIAAAAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAA !! "

Quand il commença à rire, toutes les personnes présentes se mirent à avoir des étirements dans les zygomatiques, ils avaient envie de rire aussi. Finalement, ils se lâchèrent, les uns après les autres, ils éclatèrent de rire, pouffèrent, se tenaient les côtés. Le Joker tournait sur lui même pour voir tous ces sourires forcés se dessiner sur tous ces visages, seulement quand il fit plus attention il remarqua qu'une personne ne riait pas, semblait être insensible à ce pouvoir: Peter ... Le rire du Joker se fit de moins en moins fort, et les personnes tout autour suivirent ce decrescendo. Ils se mirent tous à se regarder, cherchant à comprendre ce qu'il venait de se passer pour qu'ils entrent tous en même temps dans cette transe humoristique.

" Tu n'as pas envie de rire Peter ? Euuuh ... Je n'ai croisé aucune personne qu'elle soit spéciale ou ordinaire qui soit capable résister à mon rire. "

Le Joker ne souriait plus, quelqu'un qui était insensible à sa force de rire lui posait problème, il se sentait moins puissant. Il s'approcha de Peter et lui enfonça une lame, une vraie cette fois-ci dans l'estomac, par surprise sans que le jeune Petrelli ne voit arriver le coup. Le Joker tenait fermement le couteau, et s'amusait à le tourner pour faire souffrire le jeune homme.

" Personne !! TU M'ENTENDS !!?? PERSONNE NE RESTE SERIEUX QUAND JE RIS !! "

Il lâcha le couteau planté dans Peter et le laissa tomber, pensant qu'il était définitivement mort. Après quoi il se retourna vers les convives qui hurlaient d'effroi:

" VOS GUEULES !!! LA FERME !!! TOUT LE MONDE SUR LE BALCON !! "

Les hommes de main du Joker tirait en l'air pour motiver la foule qui se rendit sans plus discuter sur le grand balcon.

- C'est quoi l'idée Patron ?

" On va les faire sauter un par un voilà ce que c'est l'idée, faites les se regrouper contre la balustrade et attendez que j'arrive. "

- Bien monsieur.

Le Joker regarda toutes les personnes présentes aller sur le balcon, les convives et ses sbires, il s'approcha à son tour.

" Bien mesdames et messieurs, c'est là que s'achève cette délicieuse soirée. Je vous remercis tous ! "


Le Joker fit un pas en arrière en sortant de sa poche un détonateur qu'il pressa sans atteindre que ses sbires remarque la chose. L'explosion provint du dessous, des charges placées sous le balcon. Ce dernier s'effondra, précipitant les convives et les sbires dans le vide pour une chute de plusieurs dizaines de mètres. Le Joker se tenait à quelques vingt centimètres du gouffre, le pas qu'il avait fait en arrière était parfaitement réfléchi, le bâtiment ça le connaissait, et il savait jusqu'où la charge explosive sectionnerait le balcon. Il regarda en bas, son sourire réapparu et il ne put se retenir de rire.

" Je crois que quand ils ont comprit que je les avait trahi, même mes sbires sont tombés de haut ..mhmhihihi... "


Il fit demi tour et retourna dans le loft, il se baissa pour retirer la lame du corps de Peter et se dirigea vers les escaliers, il avait bien un quart d'heure avant l'arrivée des secours. Seulement voilà, alors qu'il poussa la porte, il entendit une respiration, il fit volte face: Peter, il n'était pas mort ... Il ... sa peau, sa peau elle ne saignait plus, sa plaie elle avait disparu. Le Joker fit demi tour et revint vers le jeune homme pour se mettre face à lui :

" Tu es vraiment doué toi, alors tu as combien de pouvoirs ? Dix ? Quinze ? Vingt ? Comment ça marche hein ? Comment tu fais pour en avoir autant ? "
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MessageSujet: Re: "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre]   "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre] EmptyLun 25 Aoû - 19:11

  • Peter n'aurait peut etre pas du lui rendre le outeau de cette maniére, mais il n'allait pas se laisser impressionner par qui que ce soit, Joker ou simple criminel, il essayait de ne pas avoir peur. En tout cas, il n'avait pas peur pour lui, les facultés qu'il possédait a présent commençaient a se developpé de sorte qu'il devenait plus puissant chaque jour. Mais il ne s'en servait pas pour faire le mal, bien au contraire, il les cachait et préférait de loin l'ombre a la lumiére. A présent, il savait qu'un de ces pouvoir était révélé, et le joker lui dit lui même quelques secondes plus tard.

    Mais pour un criminel, il était intelligent, en tout cas, il avait servi les plans du jeune homme en ne le disant qu'a voix basse et a lui même, de ce fait aucune autre personne présente dans l'assemblé ne l'entendit. Intérieurement, il l'en remercia, mais extérieurement il ne prit qu'un air renfrogné alors que la foule allentour ne cessait d'essayer d'entendre ce qu'il lui murmurait. La curiosité avait fait place a la peur.

    " Tu sais Peter, j'ai découvert une chose au fil du temps. J'ai un rire ... extraordinaire mhmhihi. Je ne me l'explique pas, je ne riait pas beaucoup fut un temps, mais depuis que je me suis ... enfin que ces ... cicatrices se sont formées sur mon visage, je prends tellement de plaisir à rire. Mais je remarque que les personnes qui m'entourent prennent beaucoup moins de plaisir que moi à partager ce rire qui sort de ma bouche, parce que ... ça leur fait mal. Et j'aime ça, oh oui j'aime ça. Tu veux savoir pourquoi ? Parce que j'aime le chaos, j'aime quand les choses sont faites sur l'instant, quand il n'y a pas d'organisation. Et mon taré de père me l'a dit un jour: la première chose que tu ressens après avoir tué quelque'un, c'est le recul du fusil mhmhmhiiiiiiihiHIHIHIHIHIHIHIAAAAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAA !! "

    Mais qu'essayait il de lui dire? Cela il ne le comprit que quand en pivotant sur lui même, il vit les visages de tous les participants a la fête dessinés sur leur lévres un sourire. Leurs yeux n'étaient pas joyeux mais pourtant, ils commencérent tous a rire en même temps que le joker. Alors c'était cela son pouvoir, et si il y allait trop fort, il pouvait tuer quelqu'un vu ce qu'il avait failli faire au vieil homme tout a l'heure. Pourtant, Peter n'avait pas envie de rire, aucun sourire ne se dessinait sur ses lévres rouge qui avaient trempées auparavant dans sa coupe de champagne. Il se contenta de fixer les gens puis de fixer le joker ainsi que son expression de totale incrompréhension.

    Alors qu'il arretait de rire, toute la salle s'arreta aussi. Même ses sbires ne résistaient pas, et c'est a ce moment la que Peter comprit qu'ilavait fait une nouvelle bourde. Il aurait du faire comme les autres, rire betement, même s'il n'en avait pas envie au lieu de laissé place a sa stupéfaction. Cela ne plut pas trop au joker qui commença a être en colére. En fait, Peter n'aurait pas dit qu'il était calme avant, mais la, il était largement monté en intensité. Il lui demanda s'il n'avait pas envie de rire.

    - Non je n'ai pas envie de rire..

    Mais alors qu'il finissait sa phrase, il avait arreter de lire les pensée de l'homme-clown et ne sentit plus qu'une chose. Un objet froid, dure et apparament fait de métal venait de traverser sa peau, et s'était installé juste dans son abdomen. Son souffle s'arrêta sous la douleur qu'il venait de ressentir. Le joker lui enfonca plus profndément et fit tourner la lame a l'intérieur de lui, alors qu'il mettait un main derriere son dos pour rendre la souffrance encore plus insupportable. Peter sentait son sang envahir sa chemise d'un blanc vierge. Il se senti partir au sol, sans rien pouvoir y faire et ses paupiéres de fermérent d'elles même.

    Il n'entendait plus rien, et ne voyait uniquement que du noir. Il savait qu'il allait mourrir et ne pouvait pas se régénérer. Avec un corps étranger en lui, il ne pouvait pas, c'était clair et net. Il dégluti péniblement et expira une derniére fois croyait il. Pete ne sut rien de ce que le joker avait fait, il ne savait pas que toute la foule ainsi que ses complices étaient morts.

    Il n'y avait aucune lumiére blanche, aucun paradis ni aucun enfer. Il se voyait juste dans new york, marchant dans les rues. Mais il ne voyait pas a travers ses yeux, il se voyait marcher, et ne pouvait pas se commander. Ca y est, il se rappelait de ce que c'était, c'était le jour ou Isaac avait tué Simone, la femme qu'il aimait. Mais pourquoi ce souvenir? Il n'en avait pas la moindre idée. Ensuite il enchaina sur un affrontement avec Erys dans une ruelle sombre du Bronx la oui il aurait pu mourrir aussi. Il revit a peu pres toute sa vie avant d'enfin pouvoir respirer a nouveau. Régénération.

    Pendant le court moment ou le joker avait tué tout le monde Peter avait entiérement revécu sa vie. Impressionant. La nouvelle bouffée d'air qu'il venait de reprendre était comme une renaissance, mais il était parfaitement conscient du lieu ou il se trouvait. Il savait qu'on venait de le tuer. Il savait qu'un clown était encore dans les environs. Mais malheuresement pour lui, il était plus pres qu'il ne se l'imaginait.

    Le couteau de joker avait fait un trou dans la chemise du jeune homme et en passant une main sur sa peau, il remarqua qu'il n'avait aucun trou, aucune cicatrice, uniquement une chemise ensanglantée. A l'aide du sol, il se releva, mais en une seconde, il vit arriver devant lui. Encore souflé par sa régénaration, il n'entendit que la fin de la question du joker. Mais tout de même, il ne se laissa impressioner, se redressa, et repris son air satisfait.

    Sous l'interrogation du joker sur ses pouvoirs, le jeune homme ne trouva qu'une réponse a dire; tant pis pour les conséquences...

    - Ce n'est pas un truc de clown...
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MessageSujet: Re: "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre]   "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre] EmptyMar 26 Aoû - 20:30

    « Instinct de Survie... Putain d'instinct de Survie ! Pour une fois que j'aurais pu mourir ! »

    Un simple grommellement. Dans une barbe. Façon de parler, bien sûr. Parce que la personne qui était en train de grommeler, c'était la superbe mais cruelle Eris Olygans. Que faisait-elle, en fait, à la petite fête organisée pour la victoire de Nathan Petrelli, le frère de son pire ennemi ? Bah, en fait, la réponse était très simple : elle avait voté pour lui. Étonnant, non ? Bon, d'accord, elle était presque à 1oo% d'accord avec sa politique. Même si elle détestait le fait qu'il soit le frère de ce Peter, ce môme impossible qui lui avait laissé quelques séquelles, tels que la temporaire indomptabilité de ses cheveux, même si ils n'avait été plus mentaux qu'autre chose. Dont une frustration intense. Il avait refusé de la tuer, alors qu'elle ne demandait que ça. Elle s'était mise à nue sur son sujet le plus tabou : le suicide et le mal de vivre, juste pour qu'il accepte de la tuer. Mais il avait refusé. Alors que, elle, elle avait tenté de le tuer. Et elle ne niait pas qu'elle lui en avait pas mal fait bavé, bien sûr. Des pierres sur le crâne et ses répercussions sur l'être humain en ce qui concerne son incapacité à manipuler la matière humaine pour l'instant. Elle l'avait provoqué, mal jugé exprès, attaqué, mais malgré cela, il était restait le chevalier stoïque qui accusait tous les coups sans rien dire, ou que très peu. Mais merde, redescendant un peu sur Terre ! Le Monde n'est plus comme en l'An 1ooo !

    Donc, voilà notre brillante Eris, dans la grande salle de bain de son bel appartement qui donne sur Brooklyn, en train de se préparer devant le gigantesque miroir au-dessus de son lavabo. Elle portait une magnifique robe en cuir noir au décolleté plongeant et au bas en voile noir qui moulait ses formes généreuses et parfaites à la perfection. Elle était montée sur des superbes chaussures noires à talons aiguilles, on pouvait d'ailleurs légèrement voir son vernis à ongle rouge pétant. Ses cheveux étaient lâchés et tombaient tant toute leur splendeur jusqu'au bas de son dos. À ses oreilles pendaient des coeurs en diamant et à son index droit resplendissait une bague, elle aussi en diamant, qui représentait un fleur à cinq pétales. Son visage était maquillé avec glamour, mais en restant discret : ses longs cils étaient plus allongés encore par son eye-liner, ses yeux étaient comme d'habitude soulignait par d'épais traits de khôl noir, de l'ombre à paupière gris anthracite faisait briller son regard bleu-vert glacial, un léger blush rosait ses joues et un rouge à lèvres rose pâle mettait en valeur ses lèvres pulpeuses. Elle était tout simplement magnifique et envoûtante.

    Toute fière d'avoir voté pour le gagnant, elle débarqua alors dans le Loft qui abritait la fête comme une Reine. On la regardait, ça c'était sûr. Tout le monde, d'ailleurs. Les femmes la regardaient avec jalousie. Les hommes la regardaient avec envie. Elle avança parmi eux sans soucier des regards. Elle arriva au buffet des boissons, où un steward encostumé lui servit une coupe de champagne. Elle bu deux petites gorgées, puis commença à se balader parmi les gens. Quelle horreur ! Qu'elle se sentait mal ! Eris Olygans était atteinte de misanthropie, ce qui voulait dire qu'elle haïssait l'être humain, quel qu'il soit. Sans distinction. Et être au milieu d'une telle foule lui retournait l'estomac. Beurk ! Elle n'était venue que pour entendre le discours de Nathan Petrelli. Le seul homme avec qui elle était toujours d'accord. Elle buvait les paroles de tous ses discours, c'était impressionnant.

    Au milieu de la foule, elle se sentait toute petite, comme une souris. Elle n'aimait pas ça. Elle aimait imposer ses idées. Peut être était-elle déjà comme ça ? Ou peut être l'est-elle devenue en prenant la tête du Département de Psychiatrie de l'Hôpital où elle travaille. Elle but une autre petite gorgée du liquide pétillant lorsque son attention fut attirée par l'homme qui leur parlait. Peter Petrelli.

    La main de la jeune femme se serra si brusquement que le verre éclata dans sa main, mais s'évanouit en fumée avant qu'un morceau de verre n'ai pu entailler sa peau. Personne ne lui prêtait attention, heureusement, tous écoutant attentivement les paroles qui étaient loin d'être celles d'un orateur de Peter Petrelli, le frère du gagnant. Elle se mordit la lèvre inférieur, puis s'éclipsa vers le steward des boissons et reprit une coupe. Son attention fut une nouvelle fois attirée, mais pas par Peter Petrelli. Mais par des coups de feu venant de l'entrée de la salle.

    Un homme, déguisé en clown, dont les cicatrices lui défiguraient le visage, rentrait un fusil à pompe à la main, accompagné d'une bande de clown du même genre. Le Joker. Celui-ci tira un coup en l'air, et la foule s'affola mais fut vite contenue par ses sbires. Eris, créature glaciale mais magnifique, se tenait droite comme la justice.

    " Nous sommes ... L'attraction de la soirée !! "

    Un rigolo... avec un fusil à pompe. C'était pas si rigolo que ça, finalement. Il s'avança vers Peter Petrelli, puis demanda où était Nathan à la foule. Personne ne répondit. Tout le monde le prenait pour un fou. Eris y comprit. Un vieil homme s'avança pour protester, le Joker lui proposa la marché de le tuer pour que tout le monde s'en sorte vivant. Il lui remit un pistolet. Le vieil homme tira. C'était un faux, dont sortit un drapeau avec marqué « PAN !» dessus. Le Joker, très amusé, se mit à rire d'un rire de malade, un rire plus sadique, plus malfaisant, plus démoniaque que celui de la cruelle psychiatre. Un rire qui paraissait vraiment faire du mal au vieil homme, qui se mit à saigner du nez méchamment. Émergea de parmi la foule, Peter Petrelli...

    " Je te connais toi. Euuh ... Oui, oui je te connais, t'es le jeune frère de Nathan Petrelli et bien ... Tu dois savoir où il est alors ? "

    - Nathan n'est plus a New York.

    " C'est assurément regrettable pour toutes les personnes présentes qui espèrent que tu mens mon jeune ami. Euuh ... Et si je décidais malgré le fait que euuuh ton frère ne sois pas là, de quand même tuer toutes ces personnes, tu ferais quoi ? Hein ? Tu vas te révéler être un héros et sauver toutes ces personnes ? Ou tu vas reculer dans cette masse de moutons pour retrouver la place de clown qui est la tienne ? Non je dis ça parce que ... euuh le dernier spécimen derrière moi à avoir joué au héros est en train de se pisser dessus donc ... J'aimerais pas perdre mon temps avec toi. Alors. "

    Le Joker ignorait que Peter avait le don de lire dans les pensées. Et celui-ci était sans doute en train d'écouter celles du clown. Eris aurait mis sa main à couper que la lame était une fausse. Pourquoi mettrait-il une vraie ? Il ne tenait pas à mourir aussi bêtement visiblement.

    - Je ne préfère pas prendre de risques.

    Le jeune Petrelli tourna la lame entre ses doigts avec une extrême prudence. Il ne pouvait que savoir, il avait dû lire les pensées du Joker. Il n'y avait que cela. Puis il la remit au Joker en disant :

    - Soit cette lame est une vraie et je serais devenu un meurtrier, même tuer quelqu'un comme vous doit être considéré comme un crime. Soit c'était une fausse et en vous l'enfonçant dans le corps, je ne savait pas absolument pas ce qu'adviendrait toutes ces personnes. Alors je préfére vous la rendre,les choix cornéliens ne sont pas mon truc. Et comme je vous l'ai dit, Nathan n'est pas ici.

    Le Joker ne s'attendait pas ça, c'était évident. Et il lui sourit d'un air encore plus cruel, tout en jouant nerveusement avec la lame du côté habituellement le plus tranchant. Eris avait vu juste. Le clown cauchemardesque s'approcha du jeune Petrelli et lui dire à l'oreille :

    " Alors tu te sens peut-être ... spécial ? Tu savais gamin, tu savais que la lame était une fausse je sais pas comment mais tu le savais. Alors euuh ... Tu sais lire dans mes pensées c'est ça ? Ou tu as une vision plus développée des choses et des matières ?? Si tu savais tout ce que j'ai déjà pu voir comme ... abilité ... hors du commun. "

    Il s'écarta de lui et s'adressa bien fort à la foule :

    " Tu sais Peter, j'ai découvert une chose au fil du temps. J'ai un rire ... extraordinaire mhmhihi. Je ne me l'explique pas, je ne riait pas beaucoup fut un temps, mais depuis que je me suis ... enfin que ces ... cicatrices se sont formées sur mon visage, je prends tellement de plaisir à rire. Mais je remarque que les personnes qui m'entourent prennent beaucoup moins de plaisir que moi à partager ce rire qui sort de ma bouche, parce que ... ça leur fait mal. Et j'aime ça, oh oui j'aime ça. Tu veux savoir pourquoi ? Parce que j'aime le chaos, j'aime quand les choses sont faites sur l'instant, quand il n'y a pas d'organisation. Et mon taré de père me l'a dit un jour: la première chose que tu ressens après avoir tué quelque'un, c'est le recul du fusil mhmhmhiiiiiiihiHIHIHIHIHIHIHIAAAAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAA !! "

    Ce rire avait vraiment quelque chose d'extraordinaire, de surhumain. Tout le monde se mit à rire avec lui. On voyait clairement dans les yeux des gens qu'ils ne comprenaient rien de ce qu'ils leur arrivaient et qu'ils avaient peur. Mais ni Peter ni Eris ne rigolait. C'était à peine si les commissures des lèvres pulpeuses de la belle jeune femme étaient relevées. Le Joker eut l'air de le prendre mal.

    " Tu n'as pas envie de rire Peter ? Euuuh ... Je n'ai croisé aucune personne qu'elle soit spéciale ou ordinaire qui soit capable résister à mon rire. "

    Franchement vexé, il s'approcha et enfonça violemment un vrai couteau dans l'estomac du jeune Petrelli, et le fit tourner dans la plaie pour le faire encore plus souffrir.

    " Personne !! TU M'ENTENDS !!?? PERSONNE NE RESTE SERIEUX QUAND JE RIS !! "

    Le cruel clown lâcha le couteau qui était toujours planté dans le jeune homme, pensant à tort que celui-ci était mort. Il se tourna vers les convives qui criaient d'effroi et de panique :

    " VOS GUEULES !!! LA FERME !!! TOUT LE MONDE SUR LE BALCON !! "

    Tout le monde se rendit alors que les hommes de main du Joker tirait en l'air pour motiver la foule. On ne voyait qu'une très belle femme qui nageait à contre courant. Eris. Et elle pestait contre son crétin instinct de survie qui lui faisait faire ça. Et elle avançait, sans se soucier de la foule. Les hommes de main s'apprêtaient à lui courir après lorsque la cruelle psychiatre aperçut le Joker sortirent un détonateur de sa poche. Puis tout se passa très vite. Eris courut à perdre haleine contre la violence de l'explosion, qui fit chuter tous les invités, sbires du Joker compris, d'une dizaine de mètres de hauteur, alors que le parquet s'écroulait en une sorte de pente lisse sous ses pieds. Désespérément, elle s'accrochait au bord, où elle fit par se hisser. Plus loin elle vit le Joker se baisser et retirer la lame du corps de Peter, et partir nonchalamment. Mais il fit volte-face en entendant Peter se relever.

    " Tu es vraiment doué toi, alors tu as combien de pouvoirs ? Dix ? Quinze ? Vingt ? Comment ça marche hein ? Comment tu fais pour en avoir autant ? "

    - Ce n'est pas un truc de clown...

    * Régénération cellulaire. Il est increvable celui-là, malheureusement. *

    Eris se baissa et enleva ses chaussures à talon, dont les talons en question avaient pété, on se demande pourquoi. Elle marchait pieds nus, progressant doucement dans la salle en ruine vers les deux opposants. On aurait dit un fantôme. Les cheveux décoiffés, presque plus de maquillage sur le visage, sa robe, heureusement était intacte. Elle marchait vers eux. Une déesse grecque au milieu d'un monde apocalyptique. Et elle s'arrêta dans toute sa grâce, dans toute sa splendeur, devant eux.


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MessageSujet: Re: "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre]   "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre] EmptyMar 26 Aoû - 21:48

Le Joker serra les dents quand Peter balança son sarcasme, son poing se serra sur son couteau dont la lame était toujours sortie, prête encore à embrocher qui que ce soit.

" Tu ne veux pas me le dire ? Bien ... Euuuh d'accord, tu veux pas me le dire. Je vais devoir trouver la bonne personne à menacer pour faire pression sur toi alors ... "


Le Joker venait clairement de donner un nouveau ton, et il jugea malin de continuer sa phrase dans sa tête, prouvant qu'il savait de quoi Peter était capable, même s'il était encore loin de mesurer l'étendu des pouvoirs du jeune homme:

* Si tu ne me dis pas ce que je veux savoir, je vais t'expédier les membres de ta famille par Ups en petites coupures, alors passe à table et évite toi bien des souffrances *

Puis un bruit, provenant de l'ouverture béante qui se tenait là où encore quelques minutes à peine il y avait un balcon. Une femme, très belle, très sensuelle, venait de se hisser sur ce qui restait du loft, et à présent elle avançait vers les deux hommes. Le Joker se lécha le coin des lèvres et il tourna le dos à Peter avant de se recoiffer légèrement et d'avancer d'un pas malicieux vers la belle créature.

" Bonjour beauté ... "

Le Joker parcourait tout le corps d'Eris avec ses yeux, de ses pieds vernis de rouges en passant par ses hanches si provocantes, sa poitrine, et son si beau visage. Le clown avait un regard vicieux, et ça traduisait plutôt bien ses pensées. Il fallait néanmoins qu'il se réveille, il jeta un coup d'oeil vers une grande horloge qui pendait sur un mur: il ne lui restait plus beaucoup de temps avant l'arrivée de la police.

" Je serais vraiment resté encore quelques minutes pour tailler une bavette avec vous, mais le temps me presse hélas mhmhihihi. Ceci étant dit, j'aimerais beaucoup qu'on se revoit mon cher Peter, et vous délicieuse créature il me tarde de vous faire la conversation alors ... "

Il plongea ses mains dans ses poches et sortit dans chacune d'elle une carte, issue d'un jeu de cartes traditionnel, deux jokers. Il en posa un délicatement dans la main d'Eris, et en allant vers la sortie il jeta l'autre vers Peter


" Voici ma carte ... "


Il se dirigea à présent vers la sortie d'un pas lent, il en voulait pas partir, mais ne voulait pas risquer d'attérir en prison.



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  • Par moment, on pouvait aisément croire que la chance était de son coté, par exemple lorsque quelqu'un qui était un terroriste notoire vous enfonçait un couteau en plein dans l'abdomen mais que vous ne pouviez pas mourrir. Si cela ce n'était pas de la chance, on pouvait vraiment se demander ce qui en était. Ou alors, la chance avait un autre coté, quand dans une ruelle sombre, vous aviez assez de facultés surnaturelles pour échapper aux grffes d'une femme surement frustré qui en voulait a quelqu'un ayant été coupable de son crime. Mais parfois, il y avait la malchance qui succédait a cette chance, et la, c'était clairement le cas.

    Il n'aurait jamais du sortir de ses gonds et de montrer au joker qu'il lui était supérieur, mais a vrai dire, il aurait voulu sauver toutes ces personnes qu'il supposait morte a l'heure actuelle. Mais voila, ce n'était pas le cas, il n'était pas un super héros, et face a la cruauté du monde, même ses pouvoirs ne pouvaient rien faire. Comble de malchance, si cela était techniquement possible, une seule personne avait survécue a la folie du joker: Eris. La Peter ne se dit qu'une seule chose : " Et merde ". Heuresement qu'il était le seul a lire dans les pensées des autres.

    Visiblement, le joker avait un Ego surdimensioné, cela ne le rendait pas bien différent de son frêre a vrai dire. MAis voila, Peter avait utilisé la technique de provocation qu'il faisait a l'égart de Nathan en ayant oublier une chose : Le joker était beaucoup plus dangereux que son frêre ainé. Pourquoi n'avait il pas garder son caractére calme et nin provocateur habituel? Il n'en savait rien mais il fallait qu'il réfléchisse et agisse assez vite pour qu'il n'y ait aucune répercution.

    Eris était arrivé, mais le joker avait finit sa phrase de maniére mentale pour qu'uniquement Peter entende. Curieusement, il prenait a présent les menace du clown tres au sérieux, en tout cas plus qu'avant sa mort. Il voyait deja les images s'inflitré dans sa tête, il prendrait le temps de les faire souffrir, en utilisant probablement un couteau, et pas en plastique. Mais quoi qu'il fasse ou quoi qu'il dise, il n'avait aucune assurance que le joker tienne parole.

    Mais Peter ne trouva rien a dire, ni a ajouter. Il ne pouvait pas lui expliquer, c'était dans son métabolisme. En ce qui concernait la régénaration c'était presque automatique, mais d'apres ce qu'il pensait, s'il avait un talon d'achille, il serait surement la tête. Il soupira juste, se relevant entiérement a présent. Heursement, le joker avait trouvé un jouet plus amusant pour lui que Pete: Eris. D'un coté, entre la cruauté et la folie, Pete se demandait qui allait l'emporter. Mais la, il ne viendrait en aide a aucun des deux, c'était clair.

    " Je serais vraiment resté encore quelques minutes pour tailler une bavette avec vous, mais le temps me presse hélas mhmhihihi. Ceci étant dit, j'aimerais beaucoup qu'on se revoit mon cher Peter, et vous délicieuse créature il me tarde de vous faire la conversation alors ... "

    Le joker ne prit pas le temps de laisser Pete ou Eris repondre et il enchaina en dedant une carte de jeu a la femme et en balancant une au jeune Petrelli.

    " Voici ma carte ... "

    Pete ne répondit qu'a voix mi forte :

    - Trop aimable, mais je doute que le plaisir de vous revoir sera partagé.

    Il avait tout de même tuer quasiment la totalité des invités! Et essayer de le tuer lui, et aurait même réussi si pete n'avait pas eu ses facultés. Il refléchit a une chose, le joker l'avait immédiatement tutoyer, alors lui n'avait fait que le vouvoyer: Il refusait qu'une quelconque proximité entre les deux s'établisse inconsciemment.

    Preuve d'une grande intelligence, le joker avait compris qu'il ne vallait mieux pas pour lui qu'il se trouve encore sur les lieux. Mais Peter, qu'allait il lui dire a la police qui allait voir qu'il était presque l'unique survivant mais qu'il était couvert de son propre sang sans aucune blessure. Il allait immédiatement être désigné comme l'accusé numéro un, et doutait du fait que la belle Eris lui vienne en aide...

    Sur son visage, un visage inquiet était apparu et n'échaperait surement pas aux deux autres protagonistes. Que devait il faire?
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MessageSujet: Re: "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre]   "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre] EmptyJeu 28 Aoû - 9:37

    " Je serais vraiment resté encore quelques minutes pour tailler une bavette avec vous, mais le temps me presse hélas mhmhihihi. Ceci étant dit, j'aimerais beaucoup qu'on se revoit mon cher Peter, et vous délicieuse créature il me tarde de vous faire la conversation alors ... "

    Le Joker déposa délicatement une carte de jeu dans la main de Eris.

    " Voici ma carte ... "

    La carte qui représentait le Joker à peine poser sur la fine main de pianiste de Eris Olygans, qu'elle s'envolait en un volute de fumée grise. Ce n'était pas la première fois qu'on draguait la cruelle psychiatre et ce ne sera sans aucun doute pas la dernière. Mais un si moche... bien sûr, des canons, des mignons l'avaient dragué. Des moches aussi, d'ailleurs. Mais des gens qu'on pouvait regarder pendant 5 secondes sans avoir envie de vomir. Eris était à deux doigts de rendre son dîner rien qu'en le regardant. Était-ce possible d'être aussi disgracieux, aussi... défiguré ? Parce que c'était franchement le cas. Et malade, en plus de ça. Mais sa personnalité... le fascinait ! Elle mourrait d'envie de le faire interner, et de décortiquer sa psychologie jusqu'au fin fond de son inconscient. Tout simplement fascinant ! Pour Eris, en tout cas. Ou était-ce son « instinct » de psychiatre et psychothérapeute qui reprenait le dessus même dans des moments totalement... inappropriés ?

    « Qui vous dit que les secours n'auront pas un peu... de retard ? »

    Les commissures de ses lèvres pulpeuses se relevèrent en son sourire carnassier et si sadique, dévoilant ses dents blanches et impeccablement disposées, aux canines incroyablement, mais naturellement, pointues. Elle leva son bras et claqua simplement des doigts. À peine quelques secondes plus tard, 4 explosions de moyenne intensités retentirent, accompagnés de hurlements stridents. 1 camion de pompier et 3 voitures de polices pulvérisés en quelques secondes. Peter Petrelli lui jeta un regard, l'air tout bonnement dégoûté de ce qu'elle venait de faire. Cela lui faisait franchement ni chaud ni froid. Elle agrandit son sourire et dit de sa voix glaciale et coulante comme de l'or fondu :

    « Tu n'ai pas content, Peter ? Je te donne plus de temps pour trouver un bobard à présenter aux flics, pourtant. »

    Elle s'approcha de lui et continua de lui murmurer à à peine quelques millimètres de l'oreille, ses mains posées sur le côté de son cou, pour ne pas le lâcher :

    « Et puis nous deux, on a quelques comptes à rendre, non ? Tu sais que je suis frustrée de la dernière fois. Très très très frustrée. Tu aurais dû me tuer, cela t'aurais évité d'avoir moi comme Némésis coller aux basques dès que possible. »

    * Tu dois aussi penser que je suis une pute. Non, contrairement aux apparences, je n'en suis pas une. Même, je suis difficile, même si j'aime provoquer. Et qu'est-ce que j'aime ça, Peter ! Je suis célibataire et je n'ai pas eu de relations sexuelles depuis à peu près un an. - Ne va pas croire que je te drague - Depuis la mort, prématuré, de mon petit ami. Il est mort... *

    « Par « accident ». En tout cas, le rapport qu'à fait la police chez moi, à 3 heures du matin, dit ça. »

    Le jeune Petrelli lui jeta un regard encore plus dégoûté, qui voulait tout dire : « Comment peux-tu faire ça sans remords ? ». Seul son sourire glacial lui répondit : « Je n'ai pas de remords parce que je suis cruelle et sans coeur. ». D'autres sirènes d'alarmes hurlèrent au bout de la rue. Un air exaspéré s'afficha sur son beau mais cruel visage alors qu'elle disait d'une voix froide et sifflante :

    « C'est pas vrai ! »

    Elle claqua une nouvelle fois des doigts, et de nouvelles explosions de plus fortes intensités retentirent, accompagnés une seconde fois de cris, qui se prolongèrent un peu trop longtemps. Les yeux de la belle jeune femme se plissèrent et ses sourcils se froncèrent dans une expression attentive et étonnée. Pourquoi tant de cris ? D'accord, des cris, normal, mais aussi longtemps ? Pas le temps de ruminer la question qu'un grincement à glacer le sang se fit entendre. Et avant avoir pu faire quoique ce soit, une voiture de police à moitié détruite défonçait le peu qui restait de mur du loft en ruine.

    Les trois personnes étaient à environ 25 mètres de la façade, alors que la voiture faisait plusieurs tonneaux avant de s'arrêter nette devant la main levée de Eris, comme un chien. Elle leva deux doigts et la voiture fit le chemin inverse, pour aller s'écraser sur le mur de l'immeuble d'en face et retomber avec fracas au milieu de la rue. Tout c'était passé très vite, et on pouvait remercier le sang froid de Eris, car sinon, ils auraient sûrement tous terminés écrasés par la voiture.

    « T'as vu Peter ? Depuis qu'on s'est battu, mes pouvoirs ont beaucoup augmentés. Et vous... »

    Elle fit un signe vers le Joker qui s'était retourné pour apercevoir le « spectacle » qui semblait le faire jubiler. Il était juste devant la porte, et celle-ci se referma violemment, alors que d'inquiétants « clics » semblaient la verrouillé pour de bon. Des gémissements provenaient de dessous, où se trouvaient les invités-victimes. Peter lui lança un regard courroucé, comme pour dire : « On va les laisser souffrirent encore longtemps ? ». Une nouvelle fois, le sourire carnassier de Eris répondit pour elle : « Autant de temps que je voudrais. ».

    « Restez qu'on discute un peu. »
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MessageSujet: Re: "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre]   "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre] EmptyJeu 28 Aoû - 22:37

[ Désolé pour le retard Embarassed ]



Après avoir tiré sa révérence en tentant vainement de garder un semblant de classe et de théâtralité, Le Joker se dirigea vers la porte de sortie prêt à fuir pour ne pas être pris par la police. Seulement voilà, à peine avait il poussé le battant que la voix de la belle et attirante femme lui résonna aux oreilles :

« Qui vous dit que les secours n'auront pas un peu... de retard ? »

Il se retourna, un regard curieux porté vers Eris, quand plusieurs détonations simultanées se firent entendre non loin. Le Joker se précipita vers le trou béant qui constituait autrefois le balcon du loft, et regarda en bas un sourire sadique étiré jusqu'aux oreilles.

" Ca c'est génial ... Mhmhii ... Mhmhihihihihiiiiiiiihihihihi. "

Un pur instant d'extase, Le Joker était complètement ailleurs, captivé par les flammes qui s'échappaient des carcasses enflamées où étaient carbonisés vivants de simples flics et pompiers. Tandis que lui ne cessait de jouir de voir mourir des policiers, Eris et Peter se prêtaient à des joutes verbales qui prouvaient bien qu'ils se connaissaient, ce qui intéressa le criminel qui quitta les flammes des yeux. Ce qui ne faisait aucun doute, c'est qu' Eris était la responsable des explosions, et à en juger par ses actes et ses paroles envers Peter, elle aussi avait choisi de servir le mal. Ce qui la rapprochait davantage du Joker que du jeune Petrelli. Mais alors qu'il commençait à se lasser de les entendre jacasser, de nouvelles sirènes retentièrent. Le criminel fit volte face et regarda à nouveau dehors. Il était à même pas quinze centimètres du vide, devant lui plusieurs dizaines de mètres de chute, et en bas des cadavres d'invités et de ses sbires, tous morts sur le coup, l'atterissage avait été rude. Et là, une nouvelle explosion, au même endroit, à nouveau des flics. Seulement voilà, une des voitures ne fut pas stoppée par les flammes et le souffle, et elle continua de dévaler la route, à son bord des policiers en train de brûler vivant, leurs cris témoignaient de leur douleur. Le Joker souriait, de plus en plus, en entendant les cris monter en crescendo, et en voyant l'automobile enflamée se rapprocher du pied de l'immeuble où le loft s'élevait.

" 3 ... 2 ... 1 ... Boum ! "


Le loft trembla légèrement, Le Joker manqua de glisser dans le vide et se cramponna à un morceau de poutrelle en poussant un rire suicidaire. Bien, c'en était assez pour lui, Eris était une femme très dangereuse capable de grandes choses, et mieux valait partir avant que cette folle ne fasse s'écrouler le building pour satisfaire ses envies suicidaires. Mais non, elle ne le laisserait pas partir, la porte se referma devant lui.

« Restez qu'on discute un peu. »

" Euuuh ... Ca aurait été volontiers ma chère mais je crains que vous et ce cher Peter n'ayez beaucoup de choses à vous dire et je ne voudrais pas déranger, je repasserais à l'occasion hihi "

Mais Le Joker lisait bien dans les yeux d'Eris que malgré son sourire carnassier elle ne plaisantait pas, elle avait prévu d'autres choses.

" Ceci étant dit si vous avez besoin d'un boucher pour transformer Peter en pièce à rôtir ça peut s'arranger "

Dit-il avec son sourire sadique en sortant son couteau à cran d'arrêt.
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MessageSujet: Re: "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre]   "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre] EmptyJeu 28 Aoû - 23:12

  • Eris plus le Joker: C'était une équation a plus d'une inconnu car il ne savait pas lequel des deux était le plus fou. Erie était psychologue, et oui, mais aussi psychopathe suicidaire entre autre. Peter ne pensait sincérement jamais la revoir, surtout apres leur petit affrontement de l'autre jour qui avait tourné en faveur du gentil et non de la méchante. Elle voulait qu'il la tue, mais le jeune Petrelli, contrairement au reste entier de sa famille, n'était pas un criminel et restait derriére la ligne jaune. Feignant de tuer la jeune femme il lui avait envoyer juste assez d'electricité a travers le corps pour qu'elle tombe a terre et perdre connaissance. Son reveil a l'hopital avait du être dur tout de même. Quand au Joker, il ne savait rien de plus de lui que ce qu'on disait a la télé : Qu'il était mentalement perturbé et tres doué. D'habitude, il entendait plus parler de lui a propos de casse de banque, mais aujourd'hui, il avait décidé qu'il en serait autrement, et c'était bien la vaine de Peter.

    Alors que Peter pensait que la police allait arriver d'un moment a l'autre, le sauvant en quelque sorte des deux psychopathe, il entendit que les sirénes partirent en live et des fracas de tolles résonérent entre les buildings. Peter ferma les paupiéres, se disant intérieurement que ce n'était pas possible, mais apparament si: avoir tuer tous les convives de la soirée n'avait pas suffit, il fallait que les autorités de new york y passent aussi. Visiblement, le joker était fasciné par le pouvoir d'Eris, alors Peter pensait filer en douce, se rendre invisible et partir, mais Eris voulait faire la causette. A contre coeur, il la laissa venir a lui et entendit ce qu'il devinait par avance: Elle lui en voulait.
    Cette femme dégoutait de plus en plus Peter, mais a l'heure actuelle, il ne pouvait absolument rien faire.

    - Eris, ta vie privée ne m'interesse pas plus que la derniére fois, et crois moi, je suis heureux de ne pas t'avoir tuée. Tout ce qui m'a manqué, c'est de voir ta tête quand tu t'es reveillée a l'hopital.

    Son regard se voulait dur, mais a la fois dépassé par la cruauté de la femme. Peut être était elle pire que le joker apres tout. Lui avait rit un bon coup en envoyant les invité mourrir, mais elle, elle faisait continuer toute cette horreur et curieusement, rien n'indiquait qu'elle allait la faire cesser. Les cloisons du loft vibraient, le sol se craquelait plus qu'il ne l'était deja, si la jeune femme voulait encore se suicider, Peter préférait décamper avant mais ce n'était pas pour cela qu'il s'abaisserait devant les deux malfrats. A présent, il se doutait bien qu'il était seul contre deux et quoi qu'ils puissent dire, Peter avait aussi de solides arguments a faire valoir.

    Pourtant, elle ne laissait pas non plus le criminel le plus recherché de la ville s'en aller, et le plus jeune des Petrelli se demandait bien pourquoi. Dans son role de psychiatre, était elle curieuse de connaitre la psychologie d'un tueur? Il essayait de lire dans ses pensées, mais rien n'en sortait, alors que dans celle du joker, si confuses soient elles, il pouvait clairement voir qu'il croyait Eris aussi folle que lui. Et ce n'était pas peu dire. La voix du joker retentit une derniére fois avant que le silence ne se fasse complet et qu'il ne s'approche de Peter avec son couteau. Le jeune homme n'avait pas envire de mourrir une deuxieme fois dans la soirée, une seule avait fait son effet.

    " Ceci étant dit si vous avez besoin d'un boucher pour transformer Peter en pièce à rôtir ça peut s'arranger "

    - Je ne suis pas encore un morceau de viande, et si vous avez des problémes psychologiques avec cela, je vous conseilles de consulter... Il y a justement un psy dans la salle... Je suis sure qu'elle ne vous empêche de partir que dans un but... Etudiez le comportement d'un clown...

    Il n'essayait pas vraiment de les montez l'un contre l'autre mais plutot de gagner du temps afin de trouver une solution pour qu'il s'en aille. Il avait bien penser a voler par le trou béant qui avait été provoquer par l'explosion, mais il n'était pas sur de ne pas s'écraser en bas de la tour. S'il s'écrasait, il doutait fort que la régénération marche, et quand bien même elle marcherait, tout le monde le verrait donc c'était hors de question. Alors que le joker s'approchait de plus en plus de lui, et que Peter reculait vers le fond de la piece, a l'opposé du gouffre, il lanca sur un air de provocation a Eris:

    - Avoue que tu aimerais savoir lire dans les pensées pour le comprendre...

    On aurait pu penser qu'il était devenu le suicidaire cette fois ci, mais curieusement non. Il se rendit invisible une poignée de secondes, mais la poussiére remuée par les détonnation a la suite permettait a ses ennemis de le repéré. Des nuages se formaient sur son passages et il n'était pas tres diificile de repéré sa trace. Alors qu'il avait fait l'effort de se rapprocher en marche arriére de la porte, puis de se rendre invisible, avat qu'il n'ait pu l'atteindre, il se sentit attrapé par le bras et tiré en arriére violement. Sans avoir regarder qui c'était, il se doutait que ce n'était pas Eris.
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MessageSujet: Re: "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre]   "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre] EmptyVen 29 Aoû - 9:22

    " Euuuh ... Ca aurait été volontiers ma chère mais je crains que vous et ce cher Peter n'ayez beaucoup de choses à vous dire et je ne voudrais pas déranger, je repasserais à l'occasion hihi "

    Eris ne lui fit aucune pitié dans ses yeux bleu-vert au regard glacial et distant, et le Joker comprit, car même si il était fou, il n'était pas bête, qu'elle ne plaisantait pas. Il rajouta vivement avec un sourire sadique et en sortant son couteau à cran d'arrêt :

    " Ceci étant dit si vous avez besoin d'un boucher pour transformer Peter en pièce à rôtir ça peut s'arranger "

    - Je ne suis pas encore un morceau de viande, et si vous avez des problèmes psychologiques avec cela, je vous conseilles de consulter... Il y a justement un psy dans la salle... Je suis sure qu'elle ne vous empêche de partir que dans un but... Étudiez le comportement d'un clown...

    Que voulait-il ? Les monter l'un contre l'autre ? Eris ne connaissait pas encore la personnalité du Joker pour anticipé ses réactions. Mais un gros problème se profilait à l'horizon : d'après ce qu'elle avait pu en voir, le Joker n'avait pas de personnalité propre. La cruelle psychiatre le qualifia dessuite de « Schizophrène » au niveau avancé. Tout bonnement fascinant. Pas le temps de réfléchir à la suite des évènements alors qu'il lançait, espérant sûrement la provoquer :

    - Avoue que tu aimerais savoir lire dans les pensées pour le comprendre...

    « Pas faux. »

    Ce fut tout ce qui sortit de ses lèvres pulpeuses, sur un ton des plus tranquilles. Ce n'était pas faux. Avec un pouvoir comme celui-ci, elle aurait pu faire des progrès des plus avancés dans la monde de la Psychiatrie, et aurait accès aux limbes les plus reculées de l'esprit humain. Pour le moment, elle n'avait que cette pensée dans la tête, et elle se doutait bien que Peter était en train de la lire. Mais il fuit, en se rendant invisible, ce qui n'était vraiment pas malin, puisque les nuages de poussière soulevés par les « accidents » qu'avait provoqué Eris, laissait ses traces derrière lui. Le Joker se jeta sur lui alors qu'il n'était pas loin de la porte, et le tira violemment en arrière, son couteau à cran d'arrêt à la main et son sourire sadique aux lèvres.

    « Dis-moi Peter... crois-tu que tu es comme un lézard ? »

    Malgré sa folie, le Joker avait compris, et lui sectionna le pouce d'un coup de couteau. Le jeune Petrelli hurla, alors que le clown cauchemardesque jubilait. Mais l'attention de Eris était fixée sur le moignon sanglant, qui s'agrandit pour finalement faire repousser le pouce manquant ! Le Joker s'arrêta de rire face à ce spectacle peu ragoûtant, alors que Eris avait la bouche entrouverte de surprise. Petrelli aussi sembla étonné, preuve qu'il n'avait pas explorer la capacité de tous ses pouvoirs de fond en comble. Si elle avait fait partie de la Compagnie, elle l'aurait déjà enfermé et testé jusqu'à épuisement. Mais elle ne connaissait pas l'existence de la Compagnie, et ses seules pensées étaient tournées vers les pouvoirs de régénération cellulaire du jeune homme.

    Spoiler:
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MessageSujet: Re: "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre]   "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre] EmptySam 30 Aoû - 15:59

Le Joker commençait à en avoir assez, en arrivant ici il avait l'avantage sur toute la situation, maintenant il lui semblait qu'il servait davantage Eris que le chaos. Mais bon, tant que ça restait amusant, pourquoi pas. Afin d'échapper à ses poursuivants, Peter jugea bon de se rendre invisible, mais c'était sans compter toute la poussière que dégageait les incidents produits jusque là. Le clown macabre n'eut aucune difficulté à repérer le jeune homme, et que ceci était fait, il se jeta sur lui, l'agrippa violemment avant de lui asséner un violent coup de poing qui redonna toute sa visibilité à Peter. Après quoi le Joker lui fit une clef de bras pour le maintenir accroupi.

« Dis-moi Peter... crois-tu que tu es comme un lézard ? »

Le Joker qui maintenant le bras de Peter reçu le message, il s'avérait qu'entre psychopathes les ondes passaient toutes seules. D'un coup sec avec son cran d'arrêt, il arracha le pouce du jeune Petrelli avant de le relâcher pour qu'il puisse hurler et saigner en paix. Le Joker souriat de plus belle, mais c'était temporaire ... Forcés de constater que le pouvoir du jeune Petrelli dépassait tout ce qu'ils avaient pu imaginer, Eris et le criminel regardèrent bouches bées la régénération de ce dernier s'exécuter sous leur yeux. C'était là tout un membre qui repoussait, comme la queue d'un lézard qu'on aurait coupée. Eris avait bien choisi ses mots ... Le Joker avait perdu son sourire, mais à nouveau c'était éphémère, car très vite il décida de profiter de ce moment pour reprendre le dessus de la situation. Il regarda Eris qui était toujours supéfaite, en étirant à nouveau un sourire sur son visage:

" Pourquoi cet air si sérieux ? "

Eris le regarda d'un air interrogateur, appréhendant déjà ce qui allait se passer. Ce qui venait de se passer prouvait que Peter pouvait se régénérer, mais pas qu'il ne pouvait pas mourir, et qu'il ne ressentait pas la douleur. Le Joker poussa le jeune Petrelli vers le balcon avec un coup de pied, mais il restait bien encore trois bons mètres qui séparait Peter du vide. Le clown macabre dégaina son petit fusil à pompe de l'intérieur de sa veste et envoya un coup en direction du jeune homme, qui se prit plusieurs éclats de chevrotine dans le torse. L'effet désiré se produisit: Peter fut tellement projeté en arrière par le choc des balles qu'il se retrouva dans le vide, et il fit une chute de plusieurs dizaines de mètres pour rejoindre le tas de cadavre en bas. Le Joker se pencha à nouveau pour regarder Peter s'étaler en bas, avec un sourire plus sadique que jamais:

" Et cette foi tâche d'y rester. "

Mais pas le temps de jouir du spectacle, le clown macabre fit volte face vers Eris qui se sentait moins rassurée face à ce personnage décidément très imprévisible.

" Vous savez docteur, je vous vous appeler docteur ? Je ne fais que faire des ... choses hihi. Un peu comme un chien qui court après les voitures, si j'en attrape une, je saurais même pas quoi en faire hihihihihihi ! Je veux euuh ... juste introduire l'anarchie, je veux être le bras droit du chaos. "

Il pointa alors son fusil à pompe vers Eris

" Et comme tout autre chien je déteste la concurrence. "
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MessageSujet: Re: "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre]   "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre] EmptySam 30 Aoû - 16:29

    Ce n'était pas du genre de Eris que de restait bouche bée face à quelque chose, mais là, il fallait avouer qu'un membre qui repoussait, c'était quelque chose de plus que surnaturel. Beaucoup plus même que son pouvoir à elle. Qu'est-ce que cela signifiait ? La cruelle psychiatre fit une rapide analyse dans sa tête, et en arriva à la conclusion : il ressentait la douleur, il pouvait mourir, mais lorsqu'on retirait de son corps ce qui l'avait fait mourir, il reprenait vit. Mon Dieu que c'était compliqué ! Et encore une fois surnaturel ! Le Joker reprit plus vite contenance qu'elle et se tourna vers cette dernière encore sous le choc, en disant :

    " Pourquoi cet air si sérieux ? "

    Eris reprit brusquement vie et le regarda d'un air interrogateur, une partie d'elle appréhendant déjà ce qui allait suivre. Le Joker poussa le jeune Petrelli vers le balcon d'un coup de pied, pas encore assez car il restait encore trois bons mètres qui séparait Peter du trou béant. Le clown cauchemardesque sortit un fusil à pompe modèle réduit de l'intérieur de sa veste et tira vers le jeune homme, qui se prit bien évidemment le coup en plein dans la poitrine. Eris avait tout de suite comprit le but de ce que le Joker faisait, et il se produisit : les coups de chevrotine sont connus pour être violent, et Peter fut tellement projeté en arrière par le choc des balles qu'il fit un vol plané en arrière, et il fit une chute de plusieurs dizaines de mètres pour rejoindre le tas de cadavre en bas. Le Joker se pencha et regarda Peter étalé en bas, avec un sourire plus sadique que jamais :

    " Et cette foi tâche d'y rester. "

    Eris, malgré le fait qu'elle suivait les évènements avec attention, fut prise au dépourvu par le Joker, qui passa vite à elle. Mince, il semble qu'elle avait raison en ce qui concerne la schizophrénie....

    " Vous savez docteur, je peux vous appeler docteur ? Je ne fais que faire des ... choses hihi. Un peu comme un chien qui court après les voitures, si j'en attrape une, je saurais même pas quoi en faire hihihihihihi ! Je veux euuh ... juste introduire l'anarchie, je veux être le bras droit du chaos. "

    Implacable et le regard allumé, il pointa son fusil à pompe vers Eris avant d'ajouter :

    " Et comme tout autre chien je déteste la concurrence. "

    « Bienvenue au Club. »

    Sa réponse sembla prendre légèrement le clown au dépourvu qui marqua une pause. Point négatif pour lui. Avant qu'il n'ai pu faire un geste, le fusil à pompe s'envola pour venir s'installer, docile, dans la main tendue de la cruelle psychiatre, qui lui déclara d'un air à la fois cruel et moqueur :

    « Il me semble que vous n'ayez pas compris l'étendue de mon pouvoir. »

    Et lentement, très lentement, le fusil fondit. Au sens propre ! Il se ramollit comme un morceau de chocolat au soleil, pour finalement glissé au sol en une pâte grisâtre, et épaisse comme celle avec laquelle on fait des crêpes. Triomphante, elle leva sa main devant le Joker éberlué, qui était encore couverte de la bouillie de fusil à pompe. La matière se détacha de sa main pour rejoindre celle qui était à ses pieds, laissant sa main propre et comme neuve. Eris était quelqu'un de très vaniteux et vantard, quand il y avait lieu d'être, et là, c'était le cas. Et puis, en plus de ça, elle adorait provoquer les gens jusqu'à les rendre fou ( mais ça, c'était déjà fait pour le Joker ), et les faire réagir. Elle allait s'amuser, en plus, il semblait à deux doigts de l'étriper pour avoir réduit en bouillie son fusil à pompe. D'un ton provocateur, elle lança, impitoyable et amère :

    « C'est bien ce qui me semblait : vous n'avez aucune idée de ce dont je suis capable. »
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MessageSujet: Re: "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre]   "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre] EmptyDim 31 Aoû - 16:16

[Bon, finissons en beauté What a Face ]


Alors que Le Joker pensait avoir enfin le dessus sur la belle et maléfique psychologue-psychopathe, cette dernière lui prouva qu'elle avait elle aussi plus d'une carte dans sa manche. En effet, le criminel sentit son fusil à pompe lui échapper des mains pour atterrir dans celles d'Eris. Cette dernière le fit littéralement fondre, puis disparaître, comme s'il n'avait jamais existé. Le Joker était pris entre la surprise de ce pouvoir, et la colère d'avoir vu son si beau fusil à pompe réduit à l'état de néant.


« C'est bien ce qui me semblait : vous n'avez aucune idée de ce dont je suis capable. »

Le Joker grimaça, avant de plonger sa main droite dans sa poche pour en sortir une montre à gousset. Il retrouva alors le sourire, un sourire narquois lancé envers Eris pour lui montrer qu'il savait encore ce qu'il faisait.

" Ne vous réjouissez pas trop vite docteur, vous ne pensiez tout de même pas que j'allais déserter cet immeuble après avoir tué toutes ces personnes sans balayer toute trace ? "

Puis, un bruit d'hélicoptère, d'abord lointain, mais il approchait à grande vitesse. Le Joker avait toujours une sortie de secours, s'il ne sortait pas à pied de l'hôtel alors il devait voler au sens propre du terme. Puis quelque chose se déroula devant l'immense orifice qui avait remplacé le balcon, c'était une échelle, l'hélicoptère était en stand by au dessus de l'immeuble.

" Je sais ce que vous vous dites, vous allez me laisser monter dans cet hélico puis avec votre pouvoir vous aller me faire exploser en plein vol ? Pas mal l'idée, mais le problème c'est qu'il vous reste ... voyons voir ... "

Il regarda à nouveau sa montre gousset


" ... Un peu moins d'une minute pour descendre les 6 étages à pieds et vous éloigner le plus possible de cet immeuble. Alors vous faites quoi ? Vous rester pour me tuer tout en vous sacrifiant ou vous prenez vos jambes à votre coup ? "

Tout en parlant il s'était approché du vide, et donc de l'échelle, à laquelle il finit par s'agripper.


" Prenez pas froid surtout ! Hiiiiiiiiihihihihihihihihihihaaaaaaaahahahahahahahahaha !!"

Il fit un signe en hauteur pour que le pilote de l'hélico comprenne qu'il était temps de mettre les voiles, et il s'éloigna relativement vite. Eris elle était déjà en train de dévaler les escaliers. Quelques secondes plus tard, une détonation, puis une autre, et une troisième. Quelques minutes plus tard, tout l'immeuble n'était plus qu'un tas de ruines, de cendres, et de flammes. La seule chose qui était restée dans les airs, et qui tombait à la vitesse de flocons de neiges, c'était une série de cartes à jouer "joker" largué par le criminel qui était maintenant bien loin.



[ Valà c'est tout pour moi ici What a Face merci beaucoup pour le topic ! ]
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MessageSujet: Re: "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre]   "Bonsoir mesdames et messieurs ! " [Peter Petrelli+libre] EmptyDim 31 Aoû - 17:06

    « Non, je ne suis pas du genre à me sacrifier. Parce que je suis, une agent du Mal. Et je ne vous tuerais pas... juste pour avoir le plaisir de le faire plus tard ! »

    Et ce fou s'envolait en hélicoptère, laissant le cruelle Eris, face à 6 étages à descendre en moins de une minute. Et si il y a bien une chose qui contrarie Eris, c'est être frustrée. Maintenant, elle était frustrée de ne pas avoir battu, et le Joker, et Peter. Qui doit actuellement jouer le mort, en-dessous. La belle psychiatre ne perdit pas une seconde, car combien elles étaient précieuses en cet instant, et commença à dévaler les escaliers, au fur et à mesure qu'elle ordonnait à la matière de tissus et de plastique de fondre et de se transformer en toboggan. Vous avez compris la suite.

    À fond la caisse, Eris glissa sur le nouveau toboggan, descendant étage après étage. Il devait lui rester près de quinze secondes. Et encore 3 étages à dévaler. Qu'est-ce qu'on est pas prêt à faire pour sauver sa peau ! Cette fois-ci, se sont les murs qu'elle fit fondre. Et dévia sa course vers le trou béant qu'elle venait de créer, pour s'envoler à une telle vitesse ! L'immeuble d'en face avait été évacué, heureusement pour elle, car elle s'écrasa contre une vitre, dont elle avait préalablement fait disparaître le verre. Elle se retrouva donc, plus ou moins saine et sauve, dans l'immeuble d'en face.

    Eris se mit à courir, avec la force du désespoir, contre l'explosion tonitruante qui résonna derrière elle. Elle tenta de contenir sa violence, mais c'était trop dur tellement elle était fatiguée. Les vitres éclatèrent et les murs tremblèrent, alors qu'elle dévalait les escaliers le plus rapidement que ses jambes flageolantes le permettaient. Il n'y avait plus que 2 étages, mais cela lui demandait une force surhumaine. Elle regardait à peine où elle marchait, mais lorsqu'elle atteint le rez-de-chaussé, une vague de soulagement énorme envahit son esprit et elle prit la porte de gauche, la porte de sortie par derrière, loin du regard des passants, des pompiers et des policiers.

    Eris avait la chance, d'habiter aussi à Brooklyn. Parce que si elle avait habité plus loin, elle serait sûrement tombée morte en chemin. Lorsqu'elle entra chez elle, elle ne put s'empêcher de se détester.

    Car elle se mit à pleurer.


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