| | | « HEAVEN OR DARKNESS ? YOU MUST MAKE A CHOICE. » |  |
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Eris Olygans
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| Sujet: « HEAVEN OR DARKNESS ? YOU MUST MAKE A CHOICE. »  Dim 17 Aoû - 18:23 | |
| « HEAVEN OR DARKNESS ?
YOU MUST MAKE A CHOICE. »
| WiiTH PETER PETRELLii | | WiiTH PETER PETRELLii | Des pas cadencés claquaient sur les dalles sales couvertes de déchets du Bronx, le Quartier le plus mal famé de tout New York. Pourtant, totalement quiet, avançait une silhouette féminine, mince, grande et à l'apparence fragile. C'était une magnifique jeune femme de pas plus de 3oans qui avançait d'un pas décidé dans les Ténèbres. De longs cheveux bruns parsemés de mèches rousses et parfois plus foncées encadraient son beau mais cruel visage. Ses yeux bleu-vert étaient soulignés d'épais traits de khôl noir, éclatant encore plus leur couleur dans la pénombre. Leur regard était glacial, avec quelque chose comme... mort. Oui, c'était cela. Un éclat tout droit sortit d'outre-tombe. Ses traits, pourtant si délicats et bien tracés, étaient tirés par la fatigue, et crispés par la colère. À ses oreilles pendaient des anneaux en argent, qui claquaient obstinément contre les écouteurs du iPod Nano rose fluo. Celui-ci était calé dans la poche du jean slim noir de la jeune femme, passant en boucle et au volume maximum « My Skin » de Natalie Merchant. Chanson peut être douce, mais qui ne la détendait qu'à moitié. Elle était encore plus crispée que d'habitude, pas par la peur d'être en train de se promener dans le pire Quartier de la ville, mais de la dure journée qu'elle venait de passer à l'Hôpital, là où elle travaille, dans le Département de Psychiatre.
Le Dr Eris Olygans était une habile Psychiatre & Psychothérapeute, diplômée à l'Université de Pennsylvania avec les félicitations du Jury. Ses manières n'étaient certes... pas vraiment orthodoxes mais elles faisaient leurs preuves. La plupart des Psychothérapeutes diagnostiquent des séquelles irréparables à une jeune fille qui a été violée. Mais qu'est-ce qu'elle fait, la Dr Olygans ? Elle prescrit des anti-dépresseurs faibles, et des séances d'hypnose. Comme ça, tout est réglé.
La belle jeune femme shoota dans une canette vide, l'envoyant valsée contre un mur, où elle retomba contre un ivrogne à moitié mort. Celui-ci remua dans son sommeil – ou coma ? – et lâcha un grognement rauque. Elle continua son chemin. Il commençait à faire froid. Elle ramena les mains à son visage et souffla dessus pour se réchauffer. Son sac à main enfilé sur son épaule ( cela devrait s'appeler un sac à épaule --' ) tapotait son lourd contenu contre ses côtes, et elle sentait battre son sang à sa tête. Elle marchait toujours lorsqu'elle se figea subitement, les épais talons de ses bottes de cuir noir terminant leurs monotones claquements par deux plus puissants, qui ressemblaient presque à un gong à l'inquiétante signification. Faisant volte face avec la rapidité d'un cobra énervé, elle se retrouva nez-à-nez avec l'ivrogne que la canette, dans laquelle elle avait shooté, avait heurté. Plantant ses prunelles assassines dans celles de l'ivrogne, ils restèrent pendant un blanc pesant à se contempler, comme évaluant les chances de survie de l'autre.
« Ce n'est pas l'endroit où devrait se trouver une jeune femme. Une très belle et très seule jeune femme. Une femme sans défense. »
L'homme s'approcha un peu plus de Eris, et tendit la main pour effleurer et caresser la joue de porcelaine de la cruelle psychiatre. Celle-ci vit rouge, et mit une violente claque sur la grosse main puante. Il eut un mouvement de recul, sur le visage une expression étonné, mais il se reprit vite.
« Chérie... tu me brises le coeur... »
Cette fois-ci, il se saisit des frêles épaules de la jeune femme et essaya de l'approcher de lui. Mais Eris est, malgré son physique d'apparence frêle, quelqu'un de puissant, qui plus est, pratique de la boxe, du kung fu et sait manier diverses armes à feu. Un sourire sadique et cruel s'étira lentement sur ses belles lèvres pulpeuses et, une étrange particularité qui ne se manifeste chez elle que lorsqu'elle est énervée, ses yeux se noircirent dans leur intégralité. Le regard devenu entièrement noir, un feu rouge sang semblant danser en leur milieu, elle enfonça son genou dans l'entre-jambe de l'ivrogne, le faisant tomber à terre en gémissant de douleur. Satisfaite d'elle, elle se recula, puis fit le tour de l'immonde créature geignant à terre et l'attrapa par les cheveux. Elle se mit à le malmener, elle le fit s'emplâtrer contre le mur des dizaines de fois, et lui secoua tellement la tête, qu'il crut qu'elle allait lui détacher le crâne du cou. Mais elle lui fit pire. Bien pire.
Lorsque Eris le lâcha enfin, il s'écroula à terre, la suppliant de le laisser tranquille. Pas assez poliment peut être. Mais cela n'était que pour le plaisir que cela lui procurait, que la psychopathe qui sommeillait en Eris fit ce qui suit. Regardant un peu autour d'elle, elle aperçut enfin ce qu'elle cherchait : un vieux mur dont le ciment ne tenait même plus les pierres rectangulaires. Elle tendit sa main gauche d'un geste presque avide vers la dizaine de pierres en question. Quatre d'entre-elles s'envolèrent pour se mettre à flotter telles de petits fantômes minéraux autour de la main aux longs doigts fins de pianiste de la sadique jeune femme. Elle bougea sa main vers la droite : les pierres suivirent. D'un geste ferme, elle souleva la tête de l'ivrogne qui la regardait sans vraiment la voir, tellement il était plongé dans des supplications vaines et inutiles. Une lueur sadique et implacable luisait au fond des yeux toujours aussi noirs de Eris. Elle lui mit une violente gifle et il la fixa enfin, en la voyant vraiment. Toute la colère accumulée durant la journée se déchaîna sur lui, alors que les traits de son visage étaient déformés par ce que les médecins qualifiaient de « hystérie passagère » et qu'elle hurlait, de sa voix pourtant habituellement douce et coulante comme de l'or fondu :
« Vois ce dont je suis capable ! Regarde mon Pouvoir ! Et regarde comment tu vas mourir ! »
Sa voix se tût. L'ivrogne était glacé de terreur. Elle finit, cette fois-ci, d'une voix basse et glaciale :
« Tu n'aurais pas dû me défier... Tu le paieras de ta vie... »
Une cascade minérale s'abattit sur l'ivrogne. Une pierre entière frappait à coups violents et répétés sur sa tête, tandis que deux autres pierres réduites à l'état de graviers pointus et aiguisés s'attaquaient à son corps entier. Et la quatrième pierre, me direz-vous, où est elle ? Elle est là, reposant dans la main droite de la cruelle jeune femme, qui contemplait le carnage qu'était en train de créer son pouvoir, excitée comme l'étaient les Romains aux Jeux du Cirque. Quand enfin, elle décida d'arrêter, l'homme tomba de lui-même à terre, le corps parsemés de bleus, de bosses et d'entailles pour la plupart très profondes. Tordu en deux sur les dalles sales où commençait à se répandre son sang, sa carcasse était secouée de râles. La belle jeune femme s'approcha du presque cadavre, et lui tira les cheveux de la main gauche, le forçant à pencher la tête en arrière. La pierre jusque là entière dans sa main droite, se rompit en plusieurs morceaux pour ne finalement laisser que une lame de pierre aiguisée et extrêmement coupant au milieu de la fine main. Faisant attention à ne pas se couper, elle l'attrapa par le bout et se pencha, un sourire indéniablement sadique et malveillant à l'adresse de l'homme à l'agonie. Puis, d'un geste vif et puissant, elle lui trancha la gorge. Rapide comme l'éclair, elle recula, empêchant le sang qui giclait dans d'affreux gargouillements de la tâcher. Elle leva devant ses yeux l'arme de pierre, qui tomba en poussière et s'éparpilla dans le vent. Elle fit un geste vers les cheveux du mort, qui tombèrent eux aussi en poussière. Elle élimina ainsi tous les éléments qu'elle avait touché et présentant un risque de garder ses empreintes digitales.
Ses yeux reprirent leur glaciale teinte bleu-vert habituelle. Elle fit venir son sac et son iPod, qu'elle avait élevé à 5 mètres du sol pendant le combat, vers elle et s'apprêta à reprendre sa marche lorsqu'elle l'aperçut. L'ombre. | |
| | | | Peter Petrelli
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| | Sujet: Re: « HEAVEN OR DARKNESS ? YOU MUST MAKE A CHOICE. » Dim 17 Aoû - 21:31 | |
|   I feel I've come to realize
How fast life can be compromised
Step back to see what's going on
I can't beleive this happened to you
This happened to you
It's just a problem that I'm faced with am I
Not the only one who hates to stand by
Complications that are first in this line
With all these pictures running through my mindLe Bronx. Ce quartier n'était pas vraiment fréquentable, et de mémoire de new yorkais, il ne l'avais pas été depuis bien longtemps. Les prix étaient surement les plus bas de la grosse pomme, mais pourtant, personne ne souhaitait y vivre. Le quartier était clairement des plus mal famé, et a présent, rare étaient ceux qui y vivaient par choix. La police ne passait que tres rarement, préférant d'ailleur la pénombre qui masquait le logo de la N.Y.P.D qui recouvrait les portiéres de leur voiture. Sortir en plein jour était réputé risqué, et la nuit, le risque était multiplié par un nombre élevé. On ne trouvait pas beaucoup de différentes catégories de personne ici, presque uniquement des dealers, des familles démunies, des maquereaux et des prostituées. Belle ambiance pour un quartier qui avait tendance a s'éteindre des que le jour se levait.
Mais que faisait un habitant de Brooklyn, elevé dans les beaux quartiers new yorkais et conduisant une voiture coutant une somme astronomique ici? C'était surement la question que pouvaient se poser tous les badauds qui trainaient dans le quartiers et qui avaient tendance a devenir rare vu que le soleil n'allait pas tarder a se coucher sur l'une des villes qui ne dort jamais. Il n'avait pas vraiment le style vestimentaire, ni même physique d'un habitué des quartiers les plus défavorisés avec son manteau légéerment long d'une marque anglaise commençant par un B. A vrai dire, la peur des racketteurs n'était pas vraiment ce qui arrivait en premier chez lui, il y avait bien pire partout.
Les pires personnes foulant le bitume new yorkais ne venaient peut être pas toutes de ce quartier malgré la croyance populaire. Le jeune Petrelli n'était pas une mauvaise personne par définition, et il en était meme tres loin, mais certains membres de sa famille n'étaient pas tres claires. Prenons par exemple son pére et son frêre. Le patriarche était un avocat au service de la famille mafieuse qui dirigeait Las Vegas, et son fils ainé, qui était au début un procureur intégre qui voulait faire tomber la dite famille était devenu un candidat au poste de député de new york financé par la mafia de la ville d'Emeraude. Oui Peter était surement l'exception de cette famille et faisait tout son possible pour rester loin de l'univers trop illégal.
Ecouteurs dans les oreilles, il écoutait un vieux morceau des rollings stones qui l'inspiraient pas mal en ce moment. Quoi que non, ce n'était pas de l'inspiration, mais plutot comme une comprehension extérieure a la vie chaotique d'une infirmier en soins paliatifs . Le plus jeune Petrelli était pourtant riche, il avait choisi un boulot qui ne payait pas énormément pour se détacher de l'emprise familiale qui avait d'autant plus de force en ce moment, alors que la campagne de son frere faisait un battage médiatique des plus important. A force c'était franchement pénible de se voir surexposé parce que son grand frere pronait des valeurs familiales auxqu'elles il n'accordait pas vraiment de crédit. La preuve, il avait une fille cachée, douée de talents tous a fait extraordinaires, enfin pas pour Peter.
Certaines personnes, se trouvant elles meme chanceuses ou malchanceuses, avaient des capacités plutot hors du commun. Cela pouvait parraitre fou a dire au premier abords, mais cela existait bel et bien, mais rares étaient ceux qui en faisaient l'apologie en se montrant et en se dévoilant tel quel. Il avait rencontré sa niéce, la fille cachée de son frêre qui avait la faculté de se régénéré, autrement dit, la moindre blessure guerrissait instantanément, il y avait une autre jeune femme qui pouvait envoyé de l'electricité la ou elle le voulait. Et il y avait lui même. Depuis qu'il avait découvert son pouvoir, ou plutot depuis qu'il l'avait accepté, ce qui était totalement différent, il se controlait de mieux en mieux. Il avait un de dons les plus incroyables d'apres sa niéce, car il pouvait avoir tous les dons des autres, il était en gros comme une éponge qui absorbait les mêmes capacités que les gens qu'il croisait, et a l'heure d'aujourd'hui, il ne savait pas si il connaissait toutes ses capacités.
Alors voila, le jeune Petrelli se promenait dans une des rues les plus mal famées de tout new york a la recherche d'une bouche de métro. Visiblement, il n'y en avait pas beaucoup dans ce coin la. Peter se rendait dans une ville a coté de la grosse pomme et son gps lui avait indiqué qu'il fallait passé par ce coin la, mais manque de chance totale du jeune héros, sa voiture de collection léguée par son pére décédé sept mois auparavant était tombée en panne. Il avait tout de même toruvé un garage ouvert ou il avait pu laissé sa voiture a faire réparé, et le patron, un homme bien ancré dans la cinquantaine, lui avais assuré que s'il repassait dans deux jours, elle serait comme neuve. Pete espérait juste qu'ils ne la dégradent pas.
Ses chaussures foulaient la rue depuis une dizaine de minutes, et il commencait a croire qu'il était bel et bien perdu. Et puis, aller trouver quelqu'un dans un quartier qui se vident de tout passant des le coucher du soleil, qui vie en ayant peur de lui même. Peter était plus habitué a l'ambiance des frois trop bourgeoise, mais toujours agréable de Brooklyn. Il entendit du bruit venir d'une ruelle proche de l'endroit ou il était et le jeune infirmier s'y dirigea. Il ne pouvait pas décrire ce qui provoquait les bruits qu'ils entendaient, mais cela se faisait de plus en plus fort. Une voix féminine résonna. Pete ne comprit pas ce qu'elle dit dans un premier moment, mais entendit la suite, avant de tourner dans la rue et d'apercevoir la scéne qui se jouait devant lui.
- Tu n'aurais pas dû me défier... Tu le paieras de ta vie...
Il se recula dans une partie non élcairée de la rue, n'ayant pour seul énnemi du moment un reverbére qui éclairait une brune en train de frapper un pauvre clochard. Avait il bien entendu ce que la femme venait de dire ou était un des délirs de son imagination quelque fois trop débordante? Le plus surprenant vint ensuite... Alors cette femme, qui devait être légérement plus agé que Peter et qui paraissait en apparence frêle pouvait controler la matiére? Le pauvre homme qui subissait ses attaques n'en avait plus pour tres longtemps et meem si Peter intervenait, il n'était pas sur qu'il s'en sorte.
Son observation dura le tres court temps de l'attaque de la superbe brune. Il était effaré que l'on puisse faire cela de sang froid a un homme, incapable de rompre le sinistre spectacle qui se déroulait devant lui. On pouvait penser que le meurtre et la folie n'avaient leur place au cinéma que dans les blogbusters américains qui provenaient de hollywood, mais visiblement, la réputation peu glorieuse du bronx était vraie. Visiblement, apres avoir sauvagement tranché la gorge de l'homme, elle allait repartir comme cela, sans rien ajouter, ni même prevenir la police. Mais le probleme était qu'elle arrivait vers lui.
Qu'avait il a craindre? Elle avait un pouvoir, il en avait aussi, mais elle semblait etre tellement imprévisible qu'il ne savait pas quoi penser. Mais voila, il n'allait pas éviter la jeune femme qu'il ne connaissait absolument pas et sortit de l'ombre ou il avait patienté si l'on puit dire. Evidemment, il était révolté mais elle n'était pas la premiere a faire un tres mauvais usage de ses pouvoirs. La femme fut apparament surprise de voir quelqu'un arrivé et qui était probablement un témoin de ses actes. Placé a présent dans la lumiére, il défiait presque la jeune femme d'utiliser ses pouvoirs contre lui, mais il ne dit pas un mot.
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| | | | Eris Olygans
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| | Sujet: Re: « HEAVEN OR DARKNESS ? YOU MUST MAKE A CHOICE. » Lun 18 Aoû - 11:04 | |
| « Merde... »
Un juron prononcé à voix basse s'échappa des belles lèvres pulpeuses de Eris Olygans. Quelqu'un l'avait vu. Mais pourtant... il n'était pas venu secourir l'ivrogne. Chose étrange, mais la cruelle psychiatre vit tout de suite que c'était ce qu'elle qualifiait de « gosse de riche ». Impeccable, habillé de vêtements pour la plupart chers, comme sa veste dont elle connaissait la marque étant donné qu'elle était britannique. Donc, inutile de préciser qu'il n'était pas le genre de mec à venir secourir quelqu'un, mais plutôt le genre à s'enfuir de peur de se casser un ongle. « Mon Dieu, maintenant même les hommes s'y mettent ! » pensa la belle brune. Elle s'approcha un peu plus du jeune homme, un sourire carnassier avec une pointe d'amertume et de sadisme relevant les commissures de ses lèvres. D'un geste souple, elle mit sous index droit devant ses lèvres et dit de son habituel voix douce et coulante comme de l'or fondu :
« Tu as deux choix : soit tu oublies mon visage et tout ce qui vient de se passer, – je crois que c'est le mieux pour toi, d'ailleurs – soit tu viens te battre. Et on verra bien qui de nous deux émergera des Ténèbres. Entier. »
Le Dr Olygans n'était pas essentiellement une méchante personne. Elle savait être parfaitement adorable, parfois. Le seul problème ? Elle ne s'attache plus à personne depuis la mort de sa tante et de son père. Tout enfant à pour rêve de voir vivre éternellement ses parents. Pour certains, cela peut paraître égoïste de se refuser à voir partir quelqu'un que l'on aime. Mais on est condamné à voir partir ces gens-là. Deux morts trop violentes pour ceux que la jeune et innocente Eris de l'époque aimaient. Tellement injustes aussi. Que depuis, cela lui bouffait le Coeur et son Âme. Mais si l'on écoute les philosophes, toutes les morts sont injustes mais pourtant essentielles. Le prof de philo' qui avait dit ça à Eris, elle avait failli le frapper en plein milieu du cours. Pour vous dire. « D'abord Maman, puis Mandy, et pour terminer Papa. Ce **** de Dieu n'a qu'a m'enlever le dernier oncle qui me reste, tant qu'à faire ! » pesta malgré elle la dépressive ( car elle l'était bien ) jeune femme. La première personne : sa mère, morte en accouchant d'elle. Deuxième personne : sa tante, 6 jours après l'anniversaire de ses 13ans, morte à l'hôpital à la suite de 4 coups de couteaux prit pendant une manifestation qui a mal tourné. Troisième, et elle espérait, dernière personne : son père, la veille de ses 18ans, mort d'une surinfection à une blessure qui datait de deux ans auparavant. Tout cela pour dire qu'elle ne s'attachait plus à personne de peur de devenir folle par leur perte. Elle poussa un léger soupir contre sa volonté. Elle n'aurait jamais dû le faire. Repenser au passé. Maintenant elle était encore plus énervée. Et ses yeux se noircirent une nouvelle fois en l'espace de 5 minutes.
« Qu'est-ce que tu décides, joli coeur ? »
Ses doigts s'agitaient nerveusement. Mauvais signe. Signe qu'elle mourrait d'envie de se défouler bien comme il faut sur quelqu'un. Elle défiait le jeune homme de son regard devenu aussi noir qu'une nuit sans lune et sans étoiles. Elle avait envie de s'amuser. Pour elle, « s'amuser » signifie « provoquer jusqu'à rendre fou la personne en face d'elle ». Jusqu'à ce qu'il réagisse. Le seul problème, c'est que ce stade atteint, elle ne peut s'empêcher de partir d'un rire tout bonnement sadique, voir diabolique. Bon, pour l'instant, ce n'était pas encore le cas. Mais cela n'allait pas tarder à venir. Un rapide coup d'oeil vers le mur aux briques meurtrières lui permit de voir qu'il restait des provisions en cas de combat. Et même si ce gosse de riche ne voulait pas se battre, il sera obligé. Parce que personne ne peut fuir la colère de Eris Olygans.
« On a pas toute la nuit ! À moins que tu comptes me faire poireauter jusqu'à l'aube pour prendre la fuite, pensant que je suis un Monstre ou un Vampire des Ténèbres ? Tu ne serais pas le premier, de toute façon. »
- Spoiler:
Haaaan... je <33 ton post *_* ! Tu écris trop bien (L') ! Désolé si c'est plus court que mon premier poste, mais je préfère faire plus court dans les messages précédent celui « d'entrée » comme ça, on fait plus vite les actions, avec plus de messages <3.
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| | | | Peter Petrelli
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| | Sujet: Re: « HEAVEN OR DARKNESS ? YOU MUST MAKE A CHOICE. » Lun 18 Aoû - 14:47 | |
|   I saw her today at the reception A glass of wine in her hand I knew she would meet her connection At her feet was a footloose man No, you can't always get what you want You can't always get what you want You can't always get what you want But if you try sometime you find You get what you need Aie une bonne éducation, suit les décisions familiales, et par pitié, tais toi.
En gros, on pouvais comprendre en cela les dix huit premiéres années de la vie de Peter. Evidemment, les croyances populaires et autres rmans de gare faisait une publicité sans nuages de la vie dans les beaux quartiers, alors que la réalité était quelque peu moins drole pour les refractaires. Aucune rebellion n'était réellement permise et l'argent masquait ce que l'on ne voulait pas montrer. Une image lisse sur des idées coventionnelles, ou comment évoluer dans un monde où le cours du diamant était plus important que celui du pétrole, ou les elections étaient plus importantes qu'une quelconque hausse des salaires gouvernementale.
Peter était né au sein même de new york, et avait évolué dans une famille qui avait un schéma des plus clasique. Un pére, une mére, un frêre ainé, et lui. Mettez donc le tout dans un shaker, déposé le dans un appartement dans Brooklyn, la ou les riches qui sont fiers de l'être vivent, et regarder le tout évoluer. Le manque de chance de Peter était fondamentalement d'être le second. Son pre avait pris tout d esuite son ainé sous son aile, l'initiant meme tres jeune a son monde des affaires tant chérit, alors que Peter lui était le second mais tout de même le préféré de son pére. Ecole, collége et Lycée se passérent plutot bien, mais le jeune homme aspirait a rester dans la masse, afin de faire le contraire de son frêre. Passé apres quelqu'un n'est pas exactement ce a quoi tout le monde aspire. Non?
La voix profonde de la mystérieuse meurtriére résonna dans la rue. Il n'avait pas entendu son juron, mais uniquement la partie ou elle s'adressait a lui. Peter prit le parti de ne pas répondre. Il parraitrait que l'on apprenait pas mal de chose sur la personne qui s'adressait a vous rien qu'en entendant le son de sa voix, le ton qu'elle prenait et les motsz savament choisis qu'elle disait. Peter était infirmier, mais pour travailler dans la branche des soins paliatifs ou il était, il fallait avoir un minimum de sens de la psychologie. Voyez bien, un homme va bientot mourrir, comment lui aprendre, éviter une reaction trop brutale, et l'aider a accepter? Le jeune Petrelli, contrairement a sa famille, était fondamentalement quelqu'un de bien.
Que répondre a la jeune femme qui se tenait a présent devant lui? Il n'allait certainement pas oublier ce qu'il venait de voir, ni meme son visage qui lui semblait curieusement familier bizarrement. Cela n'aurait été qu'en cherchant extrement bien et extremement loin que Peter aurait pu retrouver le lieu ou il avait croisé la cruelle brune qui se trouvait devant lui. A l'hopital. Le métier de Peter l'y conduisait fréquemment mais il ne retenait pas les noms et visages de tous les docteurs heureusement.
Brusquement, alors que la jeune femme s'adressait a lui pour la deuxieme fois, il ressentit une légére douleur a la tête, cela signifiait qu'elle avait des capacités qu'il avait acquis. Evidemment, il ne saurais peut etre pas de suite les maitrisé, comme a chaque fois, mais il apprenait vite et son pouvoir et son controle ne faisait que s'accroitre de jour en jour. A bien y repenser, le jeune Petrelli avait toujours voulu être exceptionnel mais pas dans le meme sens que son frere ou son pére. Il rêvait d'une chose encore plus exceptionelle qui était en train d'arriver depuis maintenant plus d'un mois.
Dans le noir, il entendait parfaitement le ton légérement provocateur de la femme, cela jurait avec le parfait silence si inhabituel au bronx en temps normal. Elle s'impatientait visiblement car ses doigts s'agitaient alors que Peter demeurait totalement neutre et silencieux face a elle. Mais pour ce qui était d ela provocation, il aurait fallu qu'elle s'énerve sacrément pour aire réagir Peter. Pour une fois dans sa vie, il pourrait en remercier son frere car a force d'avoir entendu toute sa vie qu'il était meileur que lui, Pete avait appris a canaliser toute forme de colére. Néammmoins, apres la troisieme intervention de la tueuse, il se décida a lui repondre.
- J'ai un doute sur le fait que tu sois un vampire, par contre, sur le fait que tu sois un monstre, cela me parait évident vu ce que tu as fait a cet homme. Mais en aucun cas je ne compte prendre la fuite, je ne vois absolument aucune raison de faire cela devant toi.
Il répondait par une provocation. C'était un gosse de riche, d'accord, mais qui avait absolument tout fait pour sortir de cette mentalité et de ce comportement ou l'argent était donné et ou la fuite était prise en cas d'attaque. Curieusement, il ne ressentait absolument aucune forme de peur. Son pouvoir l'avait bel et bien changé.
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| | | | Eris Olygans
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| | Sujet: Re: « HEAVEN OR DARKNESS ? YOU MUST MAKE A CHOICE. » Lun 18 Aoû - 19:42 | |
| « Tu vas sans doute me demander ce que je faisais là, à prendre des risques à la nuit tombée et blablabla... la réponse est simple : Cela ne te regarde pas. Et puisque je viens de te piquer la question dans ta tête, tu vas sûrement me rétorquer que tu n'en a rien à faire des raisons qui pousse un monstre à se trouver dans le Quartier le plus mal famé de tout New York. »
Eris Olygans est une fine déductrice. Elle devine les pensées, les futurs phrases et questions des gens rien qu'à la situation. Elle a bien mérité les félicitations du Jury après avoir été diplômée. Son oncle Oscar avait été tellement fière de sa nièce chérie qui ressemblait tant à sa feu-soeur. Mais le caractère tellement différent... tout le contraire de la branche maternelle. Totalement.
« Il a essayé de me violer. »
Cela n'était pas dit sur un ton d'excuse. Il ne manquerait qu'elle s'excuse, tiens ! Non, sur un ton d'explication. Un ton doux, et des plus tranquilles, des plus simples. Comme si le tuer d'une si affreuse manière était... chose anodine. Ses yeux bleu-vert au regard si glacial et sans vie se plissèrent légèrement, pas vraiment par malveillance mais plutôt par réflexion. Oui, ce gosse de riche lui disait quelque chose. Comme une désagréable sensation de déjà-vu dont on ne se rappelle plus. Elle enfouit ses mains dans les poches de son slim noir, et baissa la tête pour réfléchir. Ses yeux se plissèrent plus encore, un tic qu'elle manifestait souvent pendant des moments de profondes réflexions. Puis tout lui revint. Elle l'avait déjà vu à l'Hôpital !
« Je t'ai déjà vu, toi... à l'Hôpital, si je ne m'abuse ? Normalement, la pitié chez les gosses de riche, ce n'est pas leur fort. Oh oui, je te vois tout de suite me sortir que tu es un gosse de riche qui n'en ai pas vraiment un côté mentalité. Le problème, c'est que s'est souvent l'habit qui fait le moine. »
Que pouvait faire un gosse de riche dans un Hôpital ? À moins qu'il n'ai été briffé pour être pris dans un des départements spécialisés, elle ne voyait rien d'autre. « Mais en aucun cas je ne compte prendre la fuite, je ne vois absolument aucune raison de faire cela devant toi. ». La fin de la phrase du jeune homme appela la cruelle psychiatre. Elle répondit tranquillement, sur le ton de la conversation, toujours son sourire sarcastique et sadique sur ses lèvres pulpeuses :
« Oui, je vois tout de suite que tu n'es pas normal. Un type normal aurait déjà fuit, et appelé la police aussi. Donc, tu n'es pas normal. Comme moi. Je mélange le tout, et je suppose donc que tu es Sylar ? Venu pour m'ouvrir le crâne, et s'emparer de mon pouvoir en faisant je ne sais quoi avec mon cerveau ? Le manger, par exemple ? »
C'était peut être Sylar. Cela ne pouvait être que lui. Qui n'oserait pas prendre la fuite devant elle. Même un anormal comme elle se serait discrètement éclipsé et appelé la police. Son sac s'envola pour se poser sur une corniche élevée. La belle jeune femme recula de deux pas, ses mains ressortis de ses poches, les doigts parcouru de soubresauts répétés comme des décharges électriques, et elle lança d'une voix puissante mais éraillée, signe qu'elle préparait ses pouvoirs :
« Et je ne compte pas me laisser faire sans réagir et sans me défendre !! » | |
| | | | Peter Petrelli
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| | Sujet: Re: « HEAVEN OR DARKNESS ? YOU MUST MAKE A CHOICE. » Lun 18 Aoû - 23:03 | |
| I used to roll the dice Feel the fear in my enemy's eyes Listen as the crowd would sing: "Now the old king is dead! Long live the king!" One minute I held the key Next the walls were closed on me And I discovered that my castles stand Upon pillars of salt and pillars of sand Lassé. C'était l'état d'esprit du jeune homme, lassé de new york, lassé de tout cela, comme on se lassait d'un objet. Pourtant il était citadin et aimait beaucoup la ville, mais en ce moment, en temps d'election ou tout le monde n'avait d'yeux que pour Nathan, il ressentait un ras le bol général pour cette mentalité qu'il affectionnait tant auparavant. Etait ce a cause de ses nouveaux pouvoirs? Il n'en savait rien, mais en tout cas, ce n'était pas de la jalousie face a son frêre, cela c'était fini depuis longtemps. C'était peut etre parce que maintenant, il voyait de mieux en mieux la nature des gens, que tous les beaux rêves du genre qu'une fois sortie de la reputation de sa famille tout irait mieux s'étaient effondrés. Alors en venant dans ce quartier sombre, peut etre avait il au fond de lui une sorte de joie de s'être un peu éloigné, d'être partie dans un autre univers, qui se trouvait a l'intérieur meme de l'univers ou il évoluait.
Mais voila, la femme qui se tenait en face de lui se trompait sur le compte de Peter. Il n'allait absolument rien lui demander, il n'était pas vraiment habitué a faire la causette avec des personnes ayant son sens de la morale visiblement. Ce qui l'amenait ici l'importait bien moins que l'excuse qui, comme il s'en doutait, elle allait bientot lui fournir pour justifier son massacre sur ce pauvre homme. Il dégageait une odeur d'alcool a vingt métres a la ronde, mais il fallait tout de meme certaines capacités pour avoir fait ce qu'elle avait fait. Il la dévisagea presque et lui adressa un regard condescendant alors qu'elle lui justifiait, comme il l'avait présager, la raison de sa si violente agression.
- Et donc tu ne pouvais pas courrir au poste de police le plus proche et faire une déclaration au lieu de le tuer si... sauvagement?
Il avait choisi son dernier adjectif avec précision, étant bel et bien conscient de provoquer la meurtriére. Mais que cherchait il? A se tuer? Non, même pas, mais curieusement, il y avait un truc en cette femme qui le forcait a adopter cette condescendance a ne surtout pas se montrer faible ni quoi que ce soit de ce genre.Peut etre était ce a cause du fait qu'il était en train d'avoir un nouveau pouvoir, il commencait a surcharger?
- As tu un probléme avec les gosses de riches? Si l'habit fait le moine, tu n'as pas l'air d'être une cruelle tueuse alors que tu l'es, donc pourquoi ne pourrais je pas être un gosse de riches qui n'en a pas vraiment la mentalité?
On pouvait a nouveau remercier Brooklyn qui lui avait offert un sens de la repartie proprement new yorkais. Pourtant, depuis des années il essayait d'être plus gentil et il avait réussi alors pourquoi cette brune aux yeux cruels arrivait elle a reveiller ce qui était enfuit chez Peter, peut être parce qu'elle savait comment creuser. Alors qu'elle lui rappelait l'hopital, le jeune Petrelli se souvint parfaitement dans quel service il l'avait croisé. La psychiatrie. Il n'y mettais que rarement les pieds, mais la il y avait été pour rendre visite a un ai a sa mére, qui était apparament pris de démence, en disant que quelqu'un avait essayé de le tuer. Enfin bref, l'histoire n'est pas réellement imprtante, mais s'il se souvenait bien, la femme était docteur. Il avait bon dos le serment d'Hypocrate.
- Rassure toi, le gout de cervau n'est pas vraiment mon préféré, et au risque de te décevoir, je ne suis pas Sylar.
Il aurait pu ajouter, " Mais j'ai presque le meme pouvoir ". En fait, Slar avait besoin de tuer les gens et d'ouvrir leur cerveau afin de comprendre comment fonctionnait leur géne et de ce fait leur pouvoir. Pour Peter, il suffisait d'être pres d'eux, même de passé dans la rue était suffisant. Mais qu'elle evoque Sylar reveilla légérement sa curiosité : d'apres ce qu'il pensait, cela pourrait bien être lui qui avait essayé de tuer sa jeune cheerleader de niéce dans son lycée. Sylar était surement le pire d'entre tous ceux qui possédaient des pouvoirs, et meme la cruelle femme qui était devant lui ne pourrais surement pas lui arriver a la cheville. Oh non il ne faisait pas son éloge, mais pensait que si un jour ils se rencontraient, les dégats s'entasseraient surement.
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| | | | Eris Olygans
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| | Sujet: Re: « HEAVEN OR DARKNESS ? YOU MUST MAKE A CHOICE. » Mar 19 Aoû - 10:33 | |
| « Courir au centre de Police ? Il y en a-t-il seulement par ici ? Pas le temps de courir, va savoir si je ressortirais de ce Quartier dans une heure ou à l'aube. Dans la vie, il ne faut compter sur personne. »
Ce principe-là, la cruelle Eris Olygans l'avait compris. À chaque fois où elle avait fait confiance et compter sur quelqu'un, on l'avait trahi. Toujours, toujours, toujours. Évidemment, ce n'est pas le cas des gosses de riche, qui comptent toujours sur Papa-Maman pour filer la grosse voiture et les gros billets. Eris Olygans avait terminé de se construire toute seule. Avec une paroi inébranlable tournée vers le monde, et, lâchement, car c'était le cas, elle se cachait derrière. Pour ne plus jamais être blessée, atteinte ou humiliée. Personne à l'Hôpital où elle travaillait, ne connaissait son passé en détail, qui était froidement consigné à l'encre bleu abyssal sur le dossier présenté à son nom, planqué quelque part dans les archives du Doyen et Directeur de l'Hôpital. Un mince et glacial sourire s'étira sur ses lèvres à la phrase suivante du gosse de riche.
« Pas particulièrement, non. Je ne suis peut être que jalouse. Même si ma famille était simplement modeste. »
Eris Olygans est, ce que l'on peut qualifier de « au pire caractère du monde ». C'est vrai. Jalouse, rancunière, hargneuse, moqueuse, méprisante et méprisable, sadique, cruelle, violente, calculatrice, manipulatrice, implacable, impitoyable, sans un once de pitié ou de compassion dans le coeur et j'en oublie... tout cela regroupé en une seule pourtant magnifique et intelligente jeune femme. Longtemps frustrée à l'Université par les moqueries qu'elle subissait tous les jours sur son accent britannique ( dont, après 12ans de vie ici, elle n'avait toujours pas réussis à s'en débarrassé ), sa démarche chaloupée britannique, sa façon de s'habiller britannique, son humour britannique, son caractère britannique, ses engueulades britannique, tout, absolument tout chez elle sentait le goût putride et sanglant de la Tamise, le goût sombre et macabre de la Tour de Londres, et le goût poussiéreux et ancestral du British Museum. Que Londres lui manquait ! On se moquait d'elle pour sa nationalité. Revenant au présent, elle attrapa au vol la dernière phrase du jeune homme : « Rassure toi, le goût de cerveau n'est pas vraiment mon préféré, et au risque de te décevoir, je ne suis pas Sylar. ». La cruelle psychiatre se sentit rassurer contre son gré. Il faut avouer qu'elle aurait préféré ne pas perdre le cerveau dans la soirée. Qui le souhaiterais, franchement ?
« Donc, supposons que tu es un gosse de riche qui a une mentalité éloignée de celle habituellement rencontré dans ton cas. Supposons maintenant que, pour cette faute, tu sois relégué au rang de deuxième dans la famille, dans l'ombre de l'aîné qui est tout ton contraire. La plupart du temps, cela donne des dépressions passagères. Mélangeons le tout et... Peter Petrelli ? »
Franchement, que ferais Peter Petrelli, le frère de Nathan Petrelli le candidat aux élections de la Grosse Pomme, pommé dans le Bronx, le Quartier le plus mal famé de toute la Ville ? Il y a des jours comme ça, où le monde est à l'envers. Des jours où tout vous paraît tellement à l'envers que vous vous attendez presque à voir des poissons voler dans le ciel et des pigeons nager dans l'eau. Elle planta ses yeux toujours aussi noirs que de l'encre dans les marrons du type en face d'elle. Les bras solidement croisés sur sa généreuse poitrine, elle attendait. Attendait quoi ? N'importe quoi. Qu'il l'attaque. Qu'il lui réponde. Qu'il l'insulte. Qu'il s'en aille. C'est fou comme avec le temps, on devient plus patient. 10ans auparavant, elle aurait sans doute continué à le provoquer jusqu'à se prendre un gifle car elle en aura trop fait. Ses yeux flamboyaient donnant une certaine étincelle de vie dans le noir brillant de son iris. Eris / Iris. Tout se jouait sur l'apparence, et un point en particulier. Chez Eris, c'était ses yeux bleu-vert au regard mort, distant et glacial. | |
| | | | Peter Petrelli
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| | Sujet: Re: « HEAVEN OR DARKNESS ? YOU MUST MAKE A CHOICE. » Jeu 21 Aoû - 17:20 | |
| -D'un coté, ce n'est pas faux.
Dans la vie, il ne faut compter sur personne? La jeune femme avait raison sur au moins un point alors. Sur qui pouvais ton franchement compter? Sur la police? Non, en général, ils n'arrivaient qu'apres que le mal soit passé et c'était franchement rare qu'ils arrêtent le coupable. Pouvait on compter sur la famille? Cerains oui, d'autres non? Peter ne préférant plus se poser cette question avait choisi de déménager loin d'eux, mais pas non plus dans un quartier défaorisé comme celui ci. L'éducation bourgeoise était malheursement tenace, mais le jeune homme n'était pas triste de ce qu'il était devenu. Certe il n'avait pas les moyens financiers illimités, mais il faisait ce qu'il voulait.
- Je te rassure, il n'y a pas de quoi etre jalouse.
Il savait parfaitement de quoi il parlait, et même si cela faisait rever tous les gens qui n'étaient pas riches, la vie pour quelqu'un qui n'avait pas la mentalité fils de riche n'était pas super. Bref, peut importait ce qu'il avait vécu, l'important était le présent non? Peut etre un peu l'avenir, mais de cela, il ne savait absolument rien. Il avait toujours voulu être exceptionel, mais n'avait jamais trouvé en quoi. Maintenant, il savait peut etre que ces facultés qui venaient d'apparaitre quelques mois auparavant étaient cette preuve d'exception. On ne rencontrais pas des personnes pouvant controlé la matiére, ou se rendre invisible a tous les coins de rues, mais même parmi ces personnes si rares, on pouvait dressé une hierarchie. Certains étaient déja craints, d'autres avaient plus de pouvoirs qu'ils ne le soupçonnaient, et d'autres encore maitrisaient ce dn pour faire le mal.
Peter était quelqu'un de tres altruiste et de voir la jeune femme faire toute ses suppositions qui menérent enfin a la revelation de son identité le surpris assez. Visiblement, sa popularité dans la grosse pomme était plus étendue qu'il ne le pensait et cela bien malgré lui. Il s'était retrouvé mélé a une campagne electoral, dont son propre frere pronait des valeurs en lesquelles il ne croyait meme pas. Du genre les brunch familiaux le dimanche midi qu'ils ne faisaient jamais et auxquels ils invitaient la presse. Pete n'avait qu'une hate, voir tout ce bazar médiatique finir.
- Supposons que tu as raison, qu'est ce que cela peut faire que je sois Peter Petrelli ou non?
Ses yeux glissérent vers le sol et il poussa un soupir profond. Les suppositions, la jeune femme savait qui il était, et lui ne savait pas du tout qui elle était, excepté le fait qu'elle soit médecin. Il pourrait surement retrouvé son nom et prénom a l'hopital, mais a quoi cela lui servirait? Si elle avait autant de pouvoir que cela, elle ne s'en formaliserait pas. Mais comment allait évoluer cet échange de parole? L'un ou l'autre allait il attaquer? Pete ne maitriserait surement pas les pouvoirs de la femme aux yeux sombre tout de suite, et cela n'était pas forcément bon.
désolé c'est court --' | |
| | | | Eris Olygans
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| | Sujet: Re: « HEAVEN OR DARKNESS ? YOU MUST MAKE A CHOICE. » Ven 22 Aoû - 13:58 | |
| « Je suis juste étonnée de voir Peter Petrelli dans le Bronx. Autant que si je croisais ton frère ici. »
Le regard coulé vers le bas du jeune Petrelli fit sourire de son sourire carnassier la dangereuse jeune femme. Elle aimait à jeter le trouble dans l'esprit des gens. Habitude totalement contraire à sa profession, d'autant plus qu'elle était la Chef du Département de Psychiatrie. Psychiatre & Psychothérapeute qui avait fait ses preuves aussi bien sur le terrain que dans les examens et les concours, elle avait mérité cette place. Son sourire s'agrandit à cette réconfortante pensée, dévoilant ses dents blanches et impeccablement placées, aux canines étonnement pointus. Levant lentement sa main jusqu'à sa tempe, elle se mit à masser cette dernière avec application. Sa façon de clarifier les choses quand tout se mélangeait dans son esprit encombré et déchiré.
* Il n'empêche, l'ami, que tu es un témoin. Un témoin encombrant. Que tu sois le frère de Nathan Petrelli, j'en rien à foutre. Il faut que je t'élimine. *
Les commissures de ses lèvres pulpeuses retombèrent légèrement, jusqu'à laisser place à un mauvais sourire en coin, au lieu du sourire carnassier. Un sourire en coin plus discret, mais qui veut pourtant dire la même chose. Laissant sa tempe tranquille, ses doigts se mirent virevolter et ses yeux se fermèrent doucement, alors qu'elle lâchait un léger soupir. Elle compte lentement 10 secondes, et les ré-ouvrit, se sentant un peu plus zen, et donc plus apte à faire des efforts avec ses pouvoirs. Elle fixa d'abord Peter Petrelli, ricanant intérieurement, alors que les dalles sales de la sombre allée s'élevait dans les airs sans bruit, derrière le jeune homme. Son air mystérieux et envoûtant s'afficha sur son visage, alors qu'elle mettait son index droit devant ses lèvres et murmurait doucement :
« Laisse-toi bercer... »
Prenant une bonne inspiration, elle se mit chantonner :
« You are my sunshine, my only sunshine,
You make me happy when skies are gray,
You'll never know dear how much I love you,
Please don't take my sunshine away.
The other night dear, While I was sleeping,
I dreamed I hold you in my arms,
But when I awoke dear, I was mistaken,
and I hold my head and I cried,
You are my sunshine, my only sunshine,
You make me happy when skies are gray,
You'll never know dear how much I love you,
Please don't take my sunshine away. »
La berceuse, que lui chantait sa tante chérie, avant de s'endormir. Une douce berceuse typiquement anglaise comme on n'en faisait plus. Eris Olygans, la cruelle Eris Olygans, avait perdu toute sa haine et son masque de malveillance en la chantant. Sa voix était douce et chantante comme du velours. Elle avait fermé les yeux en chantant, et lorsqu'elle les ouvrit, elle put constater que Peter Petrelli s'était laissé bercer et avait fermé les yeux. Il ressemblait à un angelot, l'air endormi. Eris sourit, satisfaite. Ce n'était pas particulièrement un pouvoir comme le sien qui consistait à manipuler la matière, c'était plutôt... du charisme. Un très puissant charisme. Personne ne résistait à ses chansons et ses berceuses. Et c'est donc avec un sadisme contenu qu'elle regarda les dalles de pierres se réduisant à la taille de billes calots. Juste au-dessus de sa tête. Et que les 5 premières lui tombèrent avec fracas et violence sur la caboche.
- Spoiler:
Pas grave, j'aime quand même <3. Moi non plus c'est pas super long.
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| | | | Peter Petrelli
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| | Sujet: Re: « HEAVEN OR DARKNESS ? YOU MUST MAKE A CHOICE. » Ven 22 Aoû - 15:41 | |
| Un lampadaire. Il ne restait plus que cela qui éclairait la rue sombre de Brooklyn. La réputation de ce quartier malfamé n'était plus a faire, mais la jeune femme sur laquelle il était tombé ne correspondait pas vraiment au type meme de malfaiteur qui trainaient dans les bas fonds de new york. Elle n'appartenait pas a la mafia, n'était pas une junkie en manque, mais plutot une tueuse cruelle. Pourtant, elle n'en avait pas l'air. Grande et élancé, de long cheveux lui tombant dans le dos et des yeux assez persuasifs; elle n'avait pas vraiment le physique type d'un assassin tuant sans aucuns regrets. De plus, Peter était sur de l'avoir deja vu a l'hopital en blouse blanche, elle ne pouvait être que médecin. Comment bien respecter le serment d'Hyppocrate non?
- Je ne suis pas mon frêre.
Si il y avait bien un truc qui l'énervait, c'était d'être tout le temps rapproché de son frêre. Pourtant, on aurait pu croire que pour le frêre cadet, cela aurait été élogieux, mais plus maintenant pour Peter. Il avait bien fait expres de ne pas suivre ses pas, et de maintenant, voir tout le monde faire des comparaisons alors qu'ils n'avaient quasiment rien en commun excepté un nom de famille, cela l'excédait. La psychiatre avait fait mouche en disant cela. D'un naturel plutot calme d'habitude, il se dit que c'était surement l'mbiance de brooklyn qui lui donnait des idées telles que faire passé l'envie a la psychiatre d'utiliser ses pouvoirs pour faire le mal. A tel point qu'il commençait a ne plus vraiment se reconnaitre.
- M'éliminer? Tu commence a piquer ma curiosité.
C'était vrai, il avait en quelque sorte hate de voir la cruelle femme a l'oeuvre, d'apprécier ses pouvoirs face a quelqu'un qui avait grace a elle maintenant les mêmes. Mais cela, elle ne le savait pas. Elle connaisait se propres pouvoirs, et Peter aussi d'une certaine maniére a présent. Mais elle, que savait elle des pouvoirs de Peter? Il était une celebrité en quelques sortes alors n'exposait pas ses pouvoirs en public, et de plus, comment aurait elle su qu'il avait accumulé autant de pouvoir, même voir plus que sylar.
La jeune femme se mit a chantonner, elle avait une belle voix il fallait l'avouer. Les berceuses avant de s'endormir avaient été rares chez les Petrelli, chantées uniquement par les nourrices qu'ils avaient eu alors que leur parents étaient en voyages ou a des soirées caritatives. Visiblement, elle s'attendait a ce qu'il s'endorme légérement, plongeant dans une phase d esommeil paradoxal. Peter entra dans son jeu, ses pouvoirs lui permettant de se controler.
« You are my sunshine, my only sunshine,
You make me happy when skies are gray,
You'll never know dear how much I love you,
Please don't take my sunshine away.
The other night dear, While I was sleeping,
I dreamed I hold you in my arms,
But when I awoke dear, I was mistaken,
and I hold my head and I cried,
You are my sunshine, my only sunshine,
You make me happy when skies are gray,
You'll never know dear how much I love you,
Please don't take my sunshine away. »
C'était en quelques sortes le calme avant la tempête, et Peter en profitait pour se concentrer. La seule maniére de controler les pouvoirs nouveaux qu'il avait était relativement imple, il fallait qu'il se sente dans un état d'esprit particulier, état d'esprit propre a la sensation qu'il avait rescenti lorsque il avait rencontré la personne pour la premiere fois. Il essayait de se concentrer, de ressentir ce mélange de surprise et de dégout face a la jeune femme qui frappait et achevait ce pauvre homme a terre. Il sentit quelques pierres lui tombé douloureusement sur la tête et decida de combattre la psychiatre avec des armes qu'elles ne connaitraient pas. Il ressentit alors une satisfaction, cele qu'il avait ressentit alors qu'il s'était echappé d'un diner familial et qu'il avait rencontrer une jolie blonde du non de Elle.
- Si tu y tiens.
Sans ouvrir les yeux, il tendit le bras en avant et alors qu'il sentit une pierre plus lourde lui tomber sur la tête, il les ouvrit. Il étouffa un aie qui voulait sortir de sa bouche et un courant electrique sortit de ses doigts, allant frappé de plein fouet le psychologue qu'on aurait pu plus considéré comme une psychopathe.
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| | | | Eris Olygans
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| | Sujet: Re: « HEAVEN OR DARKNESS ? YOU MUST MAKE A CHOICE. » Dim 24 Aoû - 11:26 | |
| Eris n'avait jamais pensé à essayer d'utiliser son pouvoir sur l'électricité. La Physique et la Chimie ne l'avait jamais vraiment intéressé, même si elle se débrouillait pour obtenir des notes correctes. Elle était donc complètement incapable de savoir si elle avait une consistance par laquelle la manipuler. Lorsque le jet d'électricité bleu violent surgit devant elle, ce fut donc son principal mécanisme de défense qui lui ordonna de lever la main vers la masse crépitante et d'essayer de la contrôler. Elle y arriva un instant, où elle sembla se rétracter sur elle-même, mais revint à l'asseau. Et l'envoya s'écraser contre un des murs de pierres moisis. Elle glissa lentement sur le sol, ses mains écorchées par la violence du choc. Une mèche tomba devant son beau mais cruel visage, alors qu'elle haletait, sa lèvre inférieure ouverte. Elle fixa le jeune Petrelli avec haine et calculation, et se rendit alors compte... qu'il avait lu dans ses pensées ! Elle baissa la tête, et se mit à rigoler de ce petit rire agaçant qui ressemblait tant, cela elle l'ignorait, à celui Sylar. Elle ferma les yeux et visualisa une épaisse muraille de béton se refermer sur son esprit.
« Qu'es-tu, au juste ? Deux pouvoirs, cela est assez énorme. »
La cruelle psychiatre, qui avait tout de même une âme de psychopathe, le regarda avec mépris avant de se lever. Ajoutant à l'effrayant expression qui était affichée sur son visage, elle lécha avec délectation le sang qui coulait de sa lèvre en une rivière écarlate le long de son menton. Un air de défi miroitait dans ses yeux noirs comme une nuit sans lune et sans étoiles. Un mauvais sourire s'installa alors sur ses lèvres, faisant légèrement redoubler la quantité de sang qui coulait. Elle décida de garder son calme. Cela être dur. Très dur, même. Donc elle opta pour sa Grande Spécialité : le provoquer jusqu'à ce qu'il réagisse. Et elle le fera. Jusqu'à ce qu'il soit fou de colère. Elle n'avait pas peur. Elle était même loin d'avoir peur. Elle n'était pas inconsciente, loin de là, au contraire, elle était totalement consciente des risques qu'elle encourait. Non, elle n'avait juste... pas peur de mourir. Et encore moins de la douleur. Un roc. Un roc inébranlable.
« Vas-y ! Tue-moi ! Tu en es capable ! Je le sais. Que tu le veuilles ou non, il y a toujours un côté sombre en nous. Le système du Ying & le Yang. Un équilibre. Le Bien & le Mal. L'Homme & la Femme. Le Bonheur & la Tristesse. Le Plaisir & la Souffrance. »
Les actes font mal, les mots encore plus, lorsqu'ils sont choisis avec soin. Une autre spécialité de Eris. Bien campée sur ses jambes, ses poings étaient fermés, ses jointures étaient blanches et tremblaient nerveusement tellement elle se retenait de laisser exploser sa colère. Mais ce n'était pas la bonne option. Elle décida de continuer à le malmener. En touchant les points faibles. Dieu qu'elle était une fine déductrice et une habile psychiatre ! Elle décida d'appuyer sur les problèmes familiaux. D'appuyer violemment même. Elle se lança, sa voix était mielleuse mais avec quelque chose de macabre, sombre et menaçant. Ses yeux noirs luisaient dans la demi-pénombre. Ses lèvres pulpeuses étaient une nouvelle fois relevées sur ses impeccables dents blanches et ses canines pointues à l'extrême en son sourire carnassier.
« Non. En fait, tu en es incapable. Faible... si faible... je ne suis pas étonné que tu sois le mouton noir de ta famille. Incapable de faire du mal à une mouche. Serais-je la femme, le seul être humain, le seul médecin, la seule psychiatre à savoir faire ce que je fais ? Sans aucune pitié ? Sans aucun remord ? Tu n'es pas prêt à me montrer le contraire. Même pas en bonne voie. Quelle perte de temps. Quelle perte de temps tragique. Tragique et inutile. Surtout inutile, à vrai dire. »
Sa voix sonnait dure comme un gong de pierre à la résonance mystique et de mauvaise augure. Elle commençait à s'échauffer de se manque de réaction. Et ce fut à ce moment-là qu'elle se rappela que les dalles de pierres entières flottaient toujours au-dessus du jeune Petrelli. Si elle perdait son calme, il pourrait lire dans ses pensées et devinerait tout de suite ce qu'elle comptait faire. Mais Eris a plus d'un tour dans son sac, et surtout, elle sait parler 6 langues. Ce fut donc en hurlant en Allemand dans son esprit qu'elle leur ordonna de l'attaquer à coups violents et répétés, pour enfin le plaquer contre le mur.
- Spoiler:
C'est bizarre, mais je sentais que tu utiliserais l'électricité en premier <3 ! Excuse-me pour le retard, j'ai pas trop eu le temps ces deux jours-ci !
| |
| | | | Peter Petrelli
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| | Sujet: Re: « HEAVEN OR DARKNESS ? YOU MUST MAKE A CHOICE. » Dim 24 Aoû - 14:21 | |
| La concentration était le maitre mot de Peter pour manier a sa guise ses pouvoirs, mais cela n'était pas toujours évident. Il n'était pas le genre de jeune homme fougueux par définition, étant plutot calme dans la vie. Pour être infirmier, il en avait besoin. Par exemple, comment réagir a la mort d'un patient que vous traitiez depuis longtemps puis ensuite, au déces de sa fille brutal par un simple coup de revolver. Il fallait avoir une maitrise de soi pour etre capable de tourner la page rapidement afin de ne pas se faire surprendre par un genre de psychopathe du genre de la cruelle femme brune se trouvant en face de lui. Pour une fois, le jeune homme arrivait parfaitement a se concentré, peut etre parce qu'il savait qu'au fond des yeux de la jeune femme, il pouvait lire qu'elle ne lui ferait pas de cadeaux...
- Peu importe qui je suis.
Il n'était pas du genre vantard le cadet des Petrelli. Son frêre l'était bien assez pour eux deux. Se mettre en avant n'était pas exactement la chose qu'il préférait, profitant de pouvoir rester dans l'ombre quand il le pouvait. La gloire et la reconnaissance étaient deux choses auxquelles il ne tenait pas expressement, préférant de loin jouer son role de héros dans l'ombre étant plus un batman qu'un superman. Visiblement, elle n'avait pas encore comprit que le jeune homme copiait tous les pouvoirs des autres personnes extraordinaires qu'il rencontrait et pensait de ce fait qu'il était limité a l'electricité et a la lecture des pensées. Mais non, bien au contraire, il avait nombres d'autres don qu'elle ne connaissait pas. C'est pour cela qu'il ne se décida pas tout de suite a riposter préférant attendre un peu avant de dévoiler de nouveaux atouts. Elle était farouche, lui allait se montrer patient et inébranlable. Au fond elle avait raison : Le Ying et le Yang, mais pas en lui même, plutot eux deux.
- Je sais de quoi je suis capable, et je sais aussi qui je suis. Ce n'est pas vraiment dans mon genre de tuer quelqu'un, même si cette personne m'a attaqué. Je ne dis pas que je pardonne, loin de la, mais je ne vois aucunes raisons qui me pousserait a te tuer.
Son ton était calme, et son esprit clair. Presque un maitre yogi malgré son jeune age. Il savait parfaitement ce qu'il faisait, mais malheuresement, la jeune femme avait compris qu'il avait un don d elire dans les pensées. Elle tenta de fermer son esprit ce qu'elle réussi bien a faire et donc Peter n'avait plus aucune idée quand a ses idées d'attaques. Pas grave, il ferait a l'instinct. C'est vrai que c'était assez rare chez lui, preuve d'un caractére réfléchit mais apres tout, les circonstances étaient extraordinaires. Elle essayait tant bien que mal de le provoquer, de le pousser a bout, et même si elle était une fine psychologuie, Peter connaissait ses points faibles et il refusait de se laisser faire.
- Joli baratin de psy, mais ce n'est plus en m'attaquant sur ma famille que tu me fera réagir. Je ne suis pas cruel, j'ai pitié des gens car je crois encore qu'il y en a des bons. Toi tu es toi, je n'ai absolument aucuns comptes a te rendre, encore moins de te tuer. Ce qui est inutile est le fait que tu t'obstine a essayer de me faire craquer, et crois moi, même avec tes pouvoirs, tu ne réussira pas.
Peter sentit au moment ou il prononca son dernier mot qu'une multitude de pierres vinrent s'écraser contre lui, le poussant indubitablement contre le mur en brique derriére lui. Sa joue était profondément entaillé et du sang coulait deja a flot. Mais avant d'avoir pu touché la blessure, elle se guérit instantanément, comme miraculeusement. Régénation cellulaire, il pouvait dire merci a sa niéce. Alors que la psychopathe était clairement secoué par encore un nouveau pouvoirs qui apparaissait, Peter eu le temps de faire mentalement bougé une flaque d'eau jusqu'au talons aiguilles de la femme. Puis ayant réussi a déplacé un main, il envoya une décharge electrique de moyenne intensité dans cette flaque. Cours élémentaire de physique, l'eau est conductrice d'electricité et la femme fut seocué de spasmes vifs qui n'auraient pas pu le tué, ce qui conduisit au retrait des pierres du corps de Peter.
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| | | | Eris Olygans
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| | Sujet: Re: « HEAVEN OR DARKNESS ? YOU MUST MAKE A CHOICE. » Dim 24 Aoû - 15:26 | |
| L'eau conducteur de l'électricité. Comme si Eris, même en se foutant complètement de la Physique, ne le savait pas. Il n'empêche, elle s'était laissée surprendre. Et elle se détestait pour ça. Par l'autre pouvoir de Petrelli : régénération cellulaire rapide. Cela n'existe pas seulement chez les lézards, visiblement. Ainsi que télékinésie. Sinon, comment se serait retrouvée une flaque d'eau en plein dessous les épais talons des bottes de cuir noir de la cruelle jeune femme alors qu'elle n'y était pas avant ? Et en plus de cela, un rapide courant électrique, et, adieu le brushing, vive la coupe Jackson Five ! Les cheveux en l'air, et vibrant à cause de l'électricité, elle avait l'air encore plus folle. Comme si, au fond d'elle, elle ne l'était pas... son esprit occupé à se débattre avec le courant électrique, les pierres s'écrasèrent avec grand fracas sur le sol.
- Spoiler:
« Raaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! »
Les soubresauts répétés provoqués par l'eau électrifiée firent monter en flèche sa colère, alors qu'elle hurlait. Pas de douleur. D'énervement. Sous ses pieds, la flaque d'eau éclata et s'évapora comme de la poussière dans les airs. Heureusement qu'elle pouvait aussi manipuler l'eau car celle-ci avait une consistance, sinon elle n'était pas sortie de l'auberge. Son hurlement se prolongea encore après la fin de son électrocution, et sa colère propulsée mentalement contre tout ce qui était autour d'elle fit éclater les pierres qui gisaient sur le sol, trembler les murs, ainsi que les vitres d'un immeuble en ruine qui n'était pas loin. Le Peter Petrelli pouvait remercier le ciel qu'elle ne maîtrise pas encore la matière de l'être humain, sinon il aurait terminé pareil. Malgré cela, elle arrivait à provoquer des répercutions assez désagréables sur l'être humain, sûrement dû au fait que son esprit se débattait pour le manipuler, sans succès car elle n'était pas encore assez puissante pour y parvenir. D'ailleurs, il avait dû se sentir bien mal, un peu comme écartelé en deux, avec un déroutant et sacré mal de tête. Comme si on sonnait les cloches d'une église dans son cerveau.
Eris s'était à moitié écroulée après le retombement de tension. Difficilement, elle se releva, et s'aperçut que le jeune Petrelli était penché en avant, et se tenait la tête dans les mains. Sûrement une de ses répercussions sur l'espèce humaine. Peut être avait-elle augmenté ses pouvoirs en la matière ? D'habitude, ce n'était qu'un simple mais très désagréable mal de tête, voir nausée, mais là... il avait l'air plutôt mal. Peut être parce qu'il avait des pouvoirs, et que cela faisait ça à ceux genre de personne. Titubant à moitié vers lui, elle était encore tremblante du coup de l'électricité, elle s'approcha et força ses gestes à être plus ferme, plus calme. Mais elle ne savait plus si elle tremblait de haine ou du contre-coup. Elle força sa main à ne pas trembler, lorsqu'elle releva violemment la tête du jeune homme qui grimaçait de souffrance vers elle. Ses yeux papillotaient en tout sens, et elle devina qu'il avait une vue entrecoupée et brouillée. Elle dit d'une voix rauque et haletante :
« Tu n'aurais jamais dû défier Eris Olygans. Jamais, jamais, jamais. Tu n'aurais jamais dû. Maintenant tu vas terminé comme cet alcoolique. Voilà tout ce que ça t'aura apporté de m'avoir rencontré. La première et dernière fois. La seule et unique fois. »
De l'autre main, elle fit signe aux morceaux de verres de s'approcher. Ils s'envolèrent tous, chiens dociles aux ordres de leur maîtresse, vers elle. Les yeux de Peter Petrelli se calmèrent un peu, et elle devina qu'il reprenait un peu contenance. Elle se dépêcha de mettre son plan à exécution : elle laissa sur place les morceaux de verres, leur bout pointu présenté juste devant lui. Il manquera sûrement un battement de coeur, voir une crise cardiaque lorsqu'il « reprendra connaissance ». Et elle s'éclipsa discrètement, pour se réfugier dans l'immeuble en ruine, dont la porte était défoncée. Elle ordonna à la pierre du mur le plus proche de lui de se percer d'un trou suffisamment grand mais aussi suffisamment discret pour l'espionner. Elle n'en n'avait pas terminé avec lui. Puis, elle se força à fermer son esprit comme précédemment.
- Spoiler:
Cela te rappelle pas le coup de Sylar chez Mohinder, ça non *w* ?
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| | | | Peter Petrelli
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| | Sujet: Re: « HEAVEN OR DARKNESS ? YOU MUST MAKE A CHOICE. » Lun 25 Aoû - 15:19 | |
| Ne croyez pas que faire le mal plaisait a Peter. Bien au contraire, il était quelqu'un qui était fondamentalement attaché au bien et a la morale, sans cela, pourquoi se serait il détaché de sa famille? Alors pourquoi se prêtait il a ce petit jeu qui n'allait surement pas être sans conséquences? Pour la simple et bonne raison qu'il savai qu'il avait vu ce qu'il ne devrait pas voir, et que la femme allait être bien déterminée a tout faire pour éliminer un témoin génant sachant ou elle bossait et son nom. Il ne ressentait absolument aucune joie, aucun plaisir a faire souffrir quelqu'un d'autre, d'ailleurs, il en voyait bien trop de souffrance au quotidien pour ne plus ressentir que de la pitié pour ces personnes.
La décharge electrique secoua sauvagement la cruelle femme qui en poussa un cri terrible. Heuresement qu'ils étaient dans le bronx et qu'ici c'était monnaie courante sans cela, tout de suite il auraient été entouré par nombre de policiers. Mais non, les cris si violents soient ils faisaient en quelques sortes partie de l'ambiance du quartier. A présent, la colére se lisait sur le visage de l'electrocuté qui ressemblait plus désormais a la méduse de la mythologie qu'a une femme qui est docteur dans un hopital. Etrange ce qu'un peu d'electricité peu faire. Heuresement pour elle, et contrairement a elle surtout, Pete ne voulait pas la tuer, juste l'affaiblir suffisament pour pouvoir rentré chez lui sain et sauf.
Il eut a peine deux secondes de répit avant de sentir son corps tenté de se déchirer intérieurement de toute part. Mais il savait qu'il pouvait le controler de la même maniére qu'elle essayer de le déassembler. Ce n'était pas facile car il ne connaissait absolument pas ce pouvoir, mais avant qu'il ait fini de faire des effort pour se maintenir en un seul morceau, des éclas de verres d'une taille impressionante vinrent se positioner juste devant lui alors que la femme s'en allait.
Il fallait qu'il réfléchisse, et vite, faire le tour des pouvoirs qu'il avait et qui non seulement le sortirai de cette mauvaise passe, mais aussi lui redenerait l'avantage. Il trouva a l'instant crucial ou Eris envoya ses bout de verre s'exploser contre le mur ou se trouvait la tête de Peter a peine deux secondes auparavant. Bien entendu, il n'y était plus. Le stratagére qu'il élabora aurait pu faire de lu un général mais bien entendu, ce n'était pas la vocation premiére du jeune Petrelli.
Il était devenu invisible,pouvoir d'une certaine Brooke rencontrée en boite de nuit. Grace au pouvoir même de la jeune femme, il fit bouger un cailloux qui vnt s'échouer dans la flaque ou était la jeune femme quelques instants auparavant puis, comme il lavait presque prédit, de nouveau bout de verre vinrent s'écraser a cet endroit précis, preuve que la psychiatre avait marché. Ne voulant faire aucun bruit dans la rue qui était a présent aussi silencieuse que l'arctique, il lévita légémrenet grace au pouvoir de son frêreet arriva a se poser juste derriére la jeune femme qui se croyait seule. Plus maintenant non.
- Je te le redis, je ne suis pas comme toi, je ne veux pas te tuer.
Il se rendit a nouveau visible, mais était toujours sur ses gardes, pret a riposter a toute attaque.
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| | | | Eris Olygans
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| | Sujet: Re: « HEAVEN OR DARKNESS ? YOU MUST MAKE A CHOICE. » Lun 25 Aoû - 21:54 | |
| Eris Olygans était, quelqu'un de particulière butée, et dans le mauvais sens du terme. Vous comprendrez donc que c'est dans son caractère, que de détester se sentir frustrée. Et ne pas réussir à tuer ce môme l'énervait d'autant plus. Elle sentit sa présence derrière elle, et se retourna vive comme un cobra. Non, là, cela ne la faisait vraiment plus rire. Mais vraiment plus ! Quelqu'un qui avait dix mille pouvoirs, elle ne voyait que Sylar sur ce coup-là. Mais pourtant... Sylar ne lui aurait fait aucune fleur pour l'électrocution. Lui, il ne voulait pas la tuer. Mais merde, elle ne demandait que ça ! Stupide, non ? Eris est quelqu'un de dangereusement dépressif, elle s'est d'ailleurs auto-diagnostiquée de « Dépression Avancée ». Elle en est consciente. Et elle n'attend que ça : mourir. Personne ne l'a tuait, personne ne réussissait. Pourquoi ? À cause de ce truc affreux, dont tout être humain est doté : l'instant de survie. Même à deux doigts de mourir, on se battait pour survivre. Elle décida d'être directe, car elle était aussi quelqu'un de très direct, et son tempérament violent de lui permettait pas d'être dotée d'une patience très puissante. Elle décida de faire court, et s'avança dangereusement près de lui, un index cruel pointé vers sa poitrine, et la voix sifflante.
« J'en ai rien à faire de tuer des gens si c'est pour sauver ma propre peau. Toi en l'occurrence, je te sens mal. Je sens que tu vas me balancer aux flics. Et je n'ai pas besoin de ça ! Non, je n'ai pas besoin de ça. Je veux mourir sans emmerdes ! »
Elle plaqua sa main sur sa bouche, surprise que cela lui est échappée. Mince. Elle n'avait jamais, au grand jamais, parler de ses envies de suicide en public. Et encore moins devant un type qu'elle ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam. Le jeune Petrelli fit un pas en arrière, plus choqué par son aveu qu'autre chose. Oui, il semblait sincèrement surpris qu'elle ne tienne pas à vivre, et qu'elle veuille... mourir. Ce n'est pas monnaie courante, c'est vrai. Eris Olygans n'avait jamais été heureuse. Les seules fois où elle l'avait été, on les lui avait enlever. Elle avait vécu une vie dans un Monde où le Bonheur était payé par un Malheur qui en valait le triple. Un Monde cruel. Vous croyiez qu'elle était cruelle pourquoi, la Eris ? À cause de ça. Déjà que elle avait tiré de son père côté caractère... si on rajoutait la tristesse en plus... chez certains, cela amène une dépression pure et simple, et ils deviennent pareils à des légumes. Chez d'autres, comme dans le cas de Eris, ils deviennent tellement méchants, malfaisants et violents que parfois on se demande si ils ne sont pas complètement fous... Eris l'était. Elle l'était sûrement. Il n'y avait que ça.
« Oui, ça te va, j'ai envie de crever ?! J'aime pas la Vie et elle non plus, elle ne m'aime pas ! Qu'est-ce que tu attends ?! Pourquoi tu ne me tues pas ?! Pourquoi personne ne veux jamais me tuer ?! Abréger mes souffrances ! J'en suis incapable seule... je suis si seule... »
Elle prononça la dernière phrase en un souffle, la voix blanche et faible. Ses poings se crispèrent soudainement alors qu'elle fixait Peter sans le voir. Son regard était bizarrement redevenu à leur couleur habituelle du bleu-vert glacial, mais il était lointain, si lointain... comme si elle regardait quelque chose qui sentait le goût âpre et sans saveur du passé. Elle se détestait. Elle se détestait pour ce qu'elle était, ce qu'elle éprouvait, ressentait. Et elle était méchante avec elle-même. Toujours à se dire des trucs méchants et décourageants envers elle. Et entretenir cette haine envers elle-même était en train de la détruire. Sa psychologie était si complexe qu'elle avait déjà failli rendre gaga 3 psychologues qu'elle avait eu pendant son adolescence, et ses ambitions la CPE de son collège. Reprenant soudainement vie, elle attrapa violemment le jeune Petrelli par son tee-shirt, et, sa voix glaciale et impériale claqua dans le silence digne de l'antarctique de la rue nauséabonde :
« Tue-moi ! »
- Spoiler:
Ne la tue pas >.<
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| | | | Peter Petrelli
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| | Sujet: Re: « HEAVEN OR DARKNESS ? YOU MUST MAKE A CHOICE. » Jeu 28 Aoû - 19:21 | |
| Non il n'étais pas Sylar. Pourtant leur pouvoir se ressemblait, mais n'étaient pas les mêmes. D'ailleurs ces pouvoirs correspondaient parfaitement aux caractéres des deux personnes: Je m'explique. Sylar devait tuer pour se procurer de nouveau pouvoir, il ne se contentait pas que du sien qui était de comprendre foncitonnait tout. Il voulait ces pouvoirs et en faisant le mal, il obtenait ce qu'il voulait pour ensuite continuer a faire le mal. Pour Peter c'était différent. Il était fonciérement bon, et ne convoitait absolument pas le faire d'avoir tout ces pouvoirs. Il les acquerissait presque sans même savoir comment les controler et luttait de ce fait contre le mal. C'était cette pensée, le fait de se savoir quelqu'un de bien qui l'empechait de tuer Eris, et cela même malgré le fait qu'elle ait voulu le tuer. Poster derriére elle et en mode invisible, il aurait pu le faire, mais il en fut incapable, non pas par lacheté mais bel et bien par choix.
Mais la réponse de la psychologue psychopathe surprit et même gela le jeune homme. Alors c'était cela qu'elle recherchait, la mort? Elle n'avait pas la force de se suicider elle même alors elle provoquait une personne pour que celle ci le fasse? Mais Peter n'était pas cette personne. Pendant un moment, il fut surpris, cette envie de mourrir, il ne la comprendrais jamais. Quand Peter avait essayer de voler pour la premiere fois car il pensait que c'était cela son pouvoir, il avait fait une mauvaise chute d'assez haut. Et Nathan, dans son extraordinaire courage avait fait passer cet accident pour un acte de suicide de la part de son frêre. Et deuxieme chose, la mort de son pére qui était un arret cardiaque se revelait en fait un suicide. Belle famille que les Petrelli n'est ce pas?
Alors que la jeune femme était en train de lui dire de la tuer, ou plutot de l'implorer en lui criant dessus, Peter eut une idée. Elle ne marcherait qu'un temps alors il préférait le faire vite. Il soupira un grand coup, montrant sa volonté d'exaucer sa priere. D'un voix monotone il lui dit sans chanter:
-Please don't take my sunshine away.
C'était la derniere phrase de la chanson avec laquelle elle avait essayer de l'endormir. Puis agissant tres vite, il lui envoya une décharge assez puissante pour la faire tomber sans connaissance, mais pas pour la tuer. Malgré ce qu'il lui avait fait comprendre, il ne la tuerait pas. Comme il l'avait deja dit, ce n'était aps son genre, même si on lui demandait. Il fit léviter le corps d ela jeune femme jusqu'au milieu de la rue ou elle était tout a l'heure en train d'envoyer des brique sur Peter. Sur son téléphone, il composat le 911 et indiqua l'endroit ou il se trouvait, tout en ommetant de dire son nom.
Dix minutes plus tard, Peter qui était redeenu invisible regardait une ambulance enmmener la psychiatre dans l'hopital même ou elle excercait... Il n'imaginait meme pas sa colére a son reveil...
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| | | | Eris Olygans
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| | Sujet: Re: « HEAVEN OR DARKNESS ? YOU MUST MAKE A CHOICE. » Jeu 28 Aoû - 20:41 | |
| Ce n'était pas dans le caractère de Eris Olygans que d'implorer les gens à faire quelque chose qu'elle désirait. Non, ce genre de comportement la répugnait, et il est inutile de préciser que, en ce moment-même, être en train de demander la mort à ce Petrelli, un témoin des plus gênants, l'hérissait au plus au point. Enfin, si on pouvait appeler ça « demander » voir « implorer », car elle lui hurlait plus dessus qu'autre chose. Mais, ça, c'est sa façon d'évacuer son dégoût, et elle n'y pouvait rien, et même si elle y pouvait quelque chose, elle ne le changerait pas. Toujours accrochée à la chemise de marque du jeune Petrelli, elle attendait, les yeux exorbités. Alors, il poussa un soupir, prouvant qu'il allait le faire, avant de dire :
- Please don't take my sunshine away.
Bizarrement docile, Eris se détendit, le lâcha et laissa tomber ses bras le long de son corps en fermant paisiblement les yeux, alors qu'un sourire de joie enfantine, s'agrandissait sur ses lèvres pulpeuses à la place de l'habituel sourire carnassier. Elle était prête à mourir. Et cela dignement, magnifiquement, dans toute sa splendeur. Comme un vieux poème espagnol, de José Maria de Heredia, qu'elle ne put s'empêcher de réciter dans sa tête :
* Quand l'aigle a dépassé les neiges éternelles,
A ses larges poumons il veut chercher plus d'air
Et le soleil plus proche en un azur plus clair
Pour échauffer l'éclat de ses mornes prunelles.
Il s'enlève. Il aspire un torrent d'étincelles.
Toujours plus haut, enflant son vol tranquille et fier,
Il plane sur l'orage et monte vers l'éclair
Mais la foudre d'un coup a rompu ses deux ailes.
Avec un cri sinistre, il tournoie, emporté
Par la trombe, et, crispé, buvant d'un trait sublime
La flamme éparse, il plonge au fulgurant abîme.
Heureux qui pour la Gloire ou pour la Liberté,
Dans l'orgueil de la force et l'ivresse du rêve,
Meurt ainsi d'une mort éblouissante et brève ! *
C'était beau. Elle aimait l'oeuvre de Heredia. Attendant toujours, elle entrouvrit les yeux, à temps pour voir un éclair d'électricité bleu violent être lancé vers elle. Puis, tout devint noir.
La légende veut que l'on voit défiler toute sa vie devant ses yeux, quelques instants avant que la Mort ne vienne vous cueillir. Peut être Eris était-elle morte ? Quoiqu'il en soit, elle vit toute sa vie devant ses yeux tristes et courroucés : de la mort de sa mère en accouchant d'elle, à l'assassinat de sa tante pendant la manifestation dans la rue, jusqu'à la mort de son père de la surinfection de sa blessure dans le dos, en passant par le garçon qui s'était suicidé parce qu'elle l'avait quitté et sa meilleure amie périssant écrasée par une voiture à à peine un mètre d'elle. Toute sa rancoeur, toute sa douleur, lui faisait mal au coeur. Elle avait l'impression que celui-ci allait s'arracher en deux de tristesse.
* Ce Peter, pourra-t-il voir, ou entendre mes pensées ? *
La question existencielle qui tue. Puis, en dehors de son enveloppe corporel, elle vit une ambulance arrivée. Des infirmiers descendrent, et l'embarquer sur un branquard. Sur le côté de la camionnette blanche, elle vit le logo de l'Hôpital où elle travaillait. Impossible de faire le moindre geste, condamnée à regarder sa vie, et les horribles événements qui l'avait rythmée, elle était enfermée dans ses propres souvenirs. Alors, elle hurla mentalement :
* Peter Petrelli, je te déteste ! Fuis, lorsque tu me vois ! Je n'aurais de cesse que de me venger ! *
Cela faisait un peu homérique, mais c'était la stricte vérité. Parce qu'il n'y avait pas plus rancunière que Eris Mandy Kathleen Olygans.
- Spoiler:
S'il te plait, verrouille ce topic, mais ne le mets pas à la poubelle ! Superbe topic <333
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